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"Nous voulons répondre aux enjeux de l’enseignement supérieur" en prenant en compte "les logiques de compétition à l’échelle internationale", indique Armel de la Bourdonnaye, directeur de l’École des Ponts ParisTech, lors d’une conférence de presse jeudi 12 mai 2016, sur "son plan stratégique 2016-2025". Il veut "renforcer le positionnement académique [de l’école] autour de trois domaines : génie civil, environnement, transports villes ; économie, finance, génie industriel ; mathématiques, informatique, génie mécanique, matériaux". Il annonce aussi la création de doubles diplômes et de "masters internationaux", plus précisément "des programmes internationaux, au niveau master" comme le précise le plan stratégique (1). Autre priorité : le développement d’une "recherche interdisciplinaire et partenariale" ; et "une présence affirmée à l’international".
Les droits d’inscription à l’ENPC pour la formation conduisant au diplôme d’ingénieur passeront de 1 402 euros à 2 570 euros par an à la rentrée 2014 pour les nouveaux intégrés, indique un arrêté publié au JO du 20 mai 2014. Les droits dus par les ingénieurs-élèves des ponts, des eaux et des forêts (membres du corps du même nom), qui étaient réduits à 759 euros, sont alignés sur ceux des autres élèves. Aucune différenciation n’est faite, en revanche, entre étudiants français et étrangers comme c’est le cas dans les écoles de l’Institut Mines-Télécom (lire sur AEF). Pour accompagner ces augmentations, l’école a prévu dans son budget des exonérations de droits et une hausse des bourses qu’elle distribuera aux étudiants répondant à certains critères, notamment celui du revenu des parents.