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"Le 3 mai va s’ouvrir le débat parlementaire, qui se poursuivra pendant plusieurs semaines. […] Ce 3 mai les organisations syndicales prendront la parole publiquement pour exiger des parlementaires réunis à l’Assemblée nationale le rejet du projet de loi et faire entendre leurs revendications", indiquent, à l’issue d’une nouvelle réunion intersyndicale mardi 26 avril 2016, la CGT, FO, la FSU, Solidaires, l’Unef, l’UNL et la FIDL. D’ici là, l’intersyndicale appelle à la mobilisation pour demander le retrait du texte, jeudi 28 avril et dimanche 1er mai. Parallèlement, pour la fête du travail, la CFDT, la CFTC, l’Unsa et la Fage organisent deux tables rondes : une sur le projet de loi et une sur les migrants. De son côté, la CFE-CGC va mobiliser ses troupes le 3 mai pour tenter de peser sur les débats parlementaires.
Alors que "la mobilisation du samedi 9 avril doit unifier […] toutes celles et tous ceux qui luttent pour le retrait de ce projet de loi et exigent des mesures de progrès social", l’intersyndicale appelle d’ores et déjà "à une nouvelle journée de grève interprofessionnelle et de manifestations le 28 avril 2016" contre le projet de loi Travail. Dans un communiqué du 6 avril 2016, la CGT, FO, la FSU et Solidiaires côté syndicats et la FIDL, l’UNL et l’Unef côté organisations de jeunesse, se disent "déterminées" et "vigilantes aux annonces qui seront faites par le Premier ministre la semaine prochaine" après les réunions entre le gouvernement et les organisations de jeunesse (lire sur AEF).
La journée de mobilisation "a démontré la détermination sans faille des étudiant-es, lycéen-nes, salarié-es, privé-es d’emploi et retraité-es à obtenir le retrait du projet de loi travail et à conquérir de nouveaux droits sociaux", expliquent la CGT, Force ouvrière, la FSU et Solidaires côté syndicats de salariés, et la Fidl, l’Unef et l’UNL côté organisations de jeunesse, jeudi 31 mars 2016. Sans surprise, l’intersyndicale appelle à de nouvelles mobilisations le mardi 5 et le samedi 9 avril, à l’issue d’une nouvelle journée de manifestations ayant rassemblé, au moins, deux fois plus de participants que celle du 9 mars. "Si le gouvernement ne répond pas, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL, FIDL resteront déterminées à poursuivre et amplifier la mobilisation […] y compris par les manifestations et la grève interprofessionnelle."