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Dans le second degré, les enseignants sont plus assidus aux formations continues que les personnels de direction, d’inspection, d’éducation et d’orientation (DIEO) relève le ministère de l’Éducation nationale dans son bilan social de l’année 2014-2015, portant sur les données de l’année précédente. Le taux d’assiduité des stagiaires enseignants s’élève à 66 % contre 57,7 % parmi les stagiaires DIEO. Ce sont les personnels de direction qui sont les moins présents. Cependant, les taux globaux de présence et d’assiduité restent stables par rapport à 2012-2013. Le ministère rapporte par ailleurs que le volume de la formation continue a augmenté de 7,5 % en termes de modules réalisés.
"Les défections [des stagiaires] ne sont pas négligeables" au cours des formations s’adressant aux personnels du premier degré, relève le ministère de l’Éducation nationale dans son bilan social de l’année 2014-2015, portant sur les données de l’année précédente. En moyenne, 68,9 % des stagiaires inscrits se présentent à leur formation. Parmi eux, 4,3 % n’assistent pas à plus des deux tiers de la formation. La présence et l’assiduité des personnels du premier degré baissent "fortement", note le ministère. Dans le premier degré, les stagiaires les plus assidus sont les enseignants d’école maternelle, suivis de ceux d’élémentaire. Le ministère souligne par ailleurs que le volume global de formation dans le premier degré est en baisse de 9 % en termes de modules réalisés par rapport à l’année 2012-2013.
Dans quelles académies les enseignants sont-ils les plus jeunes et les femmes les plus représentées ? Où le taux de réussite aux concours externes est-il le plus élevé ? Dans quels départements y a-t-il le plus de demandes de mobilité et dans quelles académies les néotitulaires sont-ils majoritairement affectés ? AEF propose 11 infographies pour faire le point sur les différences académiques, présentées dans le bilan social du MENESR 2013-2014.
En 2013, les académies ont consommé 26,4 M€ de crédits au titre des dépenses d'action sociale soit 2% de plus qu'en 2012, selon le bilan social. De fortes différences s'observent dans les choix faits par les rectorats entre 3 types de dépenses : prestations interministérielles (PIM), actions sociales d'initiative académique (Asia) et de secours. Les académies consacrent en moyenne 9,4 % de leurs dépenses au titre des PIM pour l'aide aux vacances quand l'action en faveur des enfants handicapés est plus développée en Guyane, Corse et Martinique. Lille concentre 11,9% de la dépense globale des Asia pour 6,9 % des bénéficiaires quand Dijon consomme 8,3 % pour 12,6 % de bénéficiaires. Certaines académies consacrent une partie importante des crédits aux secours : Lille, Créteil, Versailles, Aix-Marseille et Montpellier avec des variations importantes quant aux sommes allouées.