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"Mines ParisTech a exprimé une opinion forte l'année dernière. Je n’étais pas obligé de leur demander leur avis, mais je le prendrai en compte", assure Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, lors d’une rencontre avec les étudiants des écoles de l’Institut Mines-Télécom, le 13 avril 2016. Il s’exprime à propos du refus de Mines ParisTech d’intégrer l’IMT au même titre que les autres écoles des mines, décision qu’il a entérinée. "Ce n’est pas pour rester à part [de l’IMT], mais il y a une spécificité géographique parisienne à prendre en compte avec PSL. Il ne s’agit pas de céder à un irrédentisme injustifiable", assure le ministre. Il "souhaite que Mines ParisTech puisse être intégré à l’IMT", "par le truchement d’une convention d’association, et dans une approche matricielle". "C’est une démarche gagnant-gagnant : la force de l’écosystème parisien et la force du réseau", dit-il.
Selon les informations recueillies par AEF, le ministre de tutelle des écoles des mines, Emmanuel Macron, aurait décidé de suivre les avis des conseils d'administration de chacune de ces écoles en ce qui concerne leur intégration programmée au sein de l’Institut Mines-Télécom, qu’il avait lancée en janvier 2015 pour aboutir au 1er janvier 2017 (lire sur AEF) : face à l’opposition interne suscitée par ce projet au sein de Mines ParisTech (lire sur AEF) et le vote défavorable de son CA le 8 décembre dernier (lire sur AEF), le ministre aurait ainsi décidé de proposer une "association" entre Mines ParisTech et l’IMT. Les cinq autres écoles des mines (Albi, Alès, Nantes, Saint-Étienne et Douai), qui ont voté quasi unanimement en faveur de leur intégration (lire sur AEF), devraient, elles, rejoindre les écoles Télécom au 1er janvier 2017.