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[MàJ] "La situation sociale de l'établissement est extrêmement tendue. Pour le Sgen-CFDT, des changements dans les pratiques de gouvernance sont indispensables, pour plus de respect des personnels et de leur travail", écrit le syndicat dans une lettre ouverte à Thierry Mandon, le 30 mars 2016, à propos de CentraleSupélec. "Il n’est pas acceptable, par exemple, que le CHSCT n’ait pas été réuni une seule fois en 2015 alors que les besoins sont importants au terme d’un processus de fusion que les personnels ne souhaitaient pas." Le Sgen-CFDT demande au secrétaire d’État d’ajouter un volet RH à la mission que doit effectuer l’IGAENR sur l’état des finances de l’école, et "qu’un expert soit nommé, qui se centrerait spécifiquement sur les questions relatives à la qualité de vie au travail de l’ensemble des salariés". Pour Francis Trélin, élu au CT, "une crise sociale majeure est possible".
Alors que le nouveau grand établissement CentraleSupélec a été officiellement créé au 1er janvier 2015 (lire sur AEF), le JO du 4 janvier précise le montant des droits de scolarité qu’il appliquera au cours des trois prochaines rentrées. Une période de transition, avant la fusion des deux cursus ingénieurs, concernera les années 2015-2016 et 2016-2017 : pour les étudiants engagés dans le cursus Supélec, les droits s’élèveront à 2 570 euros par an ; pour les étudiants recrutés par Centrale, ceux qui sont "en cours de formation" à la date de publication du décret s’acquitteront de 620 euros, tandis que les "nouveaux inscrits" paieront 1 850 euros en 2015-2016 et 2 200 euros en 2016-2017. Enfin, à partir de la rentrée 2017, tous les élèves du nouvel établissement prépareront le même diplôme (CentraleSupélec) et financeront leurs études à hauteur de 2 570 euros par an.