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"En finir avec les ghettos sociaux." C’est dans cette perspective que Valérie Pécresse, présidente LR de la région Île-de-France, et Geoffroy Didier, vice-président (LR) en charge du logement et de la politique de la ville, vont soumettre au vote du conseil régional, qui se réunira les 17 et 18 mars prochains, une délibération visant à ne plus financer les PLAI dans les communes qui comptent plus de 30 % de logements sociaux. L’exécutif francilien décompte à ce titre les seuls PLUS et PLAI, qualifiant les PLS de logements intermédiaires. En la matière, il entend d’ailleurs "à nouveau contribuer au financement, abandonné en 2014" des PLS, faisant valoir que "la mixité sociale fonctionne dans les deux sens". La région propose encore de lancer un appel à projets innovants intitulé "Dessine-moi le Grand Paris de demain" et de financer l’émergence de 100 quartiers "innovants et écologiques".
"Si un président de région dit 'on va dégager du foncier et maintenant on va construire', c’est un symbole de volontarisme politique", fait valoir Valérie Pécresse, jeudi 28 janvier 2016 à l’occasion des vœux de l’Epfif, dont elle prendra officiellement la tête du conseil d’administration dans les semaines qui viennent. Gilles Bouvelot, son directeur général, évoque un "moment particulier dans l’histoire de l’établissement", qui change de périmètre, voit sa gouvernance renouvelée et doit mettre en place sa stratégie pour les cinq ans à venir, à travers le PPI 2016-2020. Dans le cadre du vote de ce document, la présidente de la région capitale entend "aller au maximum du potentiel de l’EPF". L’élue, qui va aussi présider l’EPA Saclay, réitère par ailleurs l’une de ses promesses de campagne : ne plus financer de PLAI dans les communes qui comptent déjà plus de 30 % de logements sociaux.
Valérie Pécresse, présidente du groupe UMP du conseil régional d'Île-de-France, fait part, dans un courrier adressé aux élus franciliens de tous bords politiques et daté du 23 mai 2013, de ses inquiétudes vis-à-vis des dispositions du projet de loi de « modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles », et plus particulièrement de celles qui créent Grand Paris Métropole. À quelques jours de l'examen du texte au Sénat (1), elle entend les « alerter » sur « les vraies menaces » qu'il représente « pour les communes et l'avenir » de la région. Pour elle, le projet de loi « bouleverse l'organisation territoriale de l'Île-de-France en créant des échelons administratifs supplémentaires », « remet en cause la compétence des maires en matière d'urbanisme et d'aménagement du territoire communal », « conduit à une hausse imposée de la fiscalité locale » et « marque la fin de la solidarité entre zones urbaines et territoires ruraux » dans la région.
« Nous vous demandons de prendre clairement position sur les points essentiels du Grand Paris. » Valérie Pécresse, présidente du groupe Mouvement populaire au conseil régional d'Île-de-France, ainsi que 24 signataires (1), interpellent de nouveau la ministre de l'Égalité des territoires et du Logement, Cécile Duflot, dans une lettre ouverte intitulée « Il faut sauver le Grand Paris », datée du 1er juin 2012 et communiquée lundi 4 juin. Le groupe UMP au conseil régional d'Île-de-France réitère ainsi ses craintes de voir attribuer « ce projet majeur à l'une de ses opposantes les plus virulentes » (AEF Habitat et Urbanisme n°214229), alors que le décret d'attribution du ministre délégué à la Ville, François Lamy, n'a toujours pas été publié au JO (AEF Habitat et Urbanisme n°214263). « Votre famille politique s'est en effet toujours opposée au Grand Paris », pointent les auteurs du courrier, affirmant être « nombreux à [s'] interroger sur les véritables intentions du gouvernement et à craindre le démantèlement programmé du Grand Paris ». Ils rappellent « l'accord unanime des présidents du conseil régional, des huit conseils généraux de la région et de Paris Métropole, tant du point de son organisation que de son financement ».
« Une nouvelle vague de 20 simplifications est engagée » afin d'améliorer la « relation numérique » de l'État à l'usager, notamment pour « dématérialiser la demande d'aide au logement étudiant », indique le ministère du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État, suite à la remise lundi 26 septembre 2011 par le député (UMP, Seine-et-Marne) Franck Riester de son second rapport sur « l'amélioration de la relation numérique à l'usager » à la ministre Valérie Pécresse. La mesure de dématérialisation de la demande d'aide au logement étudiant sera mise en œuvre « au premier trimestre 2012 », précise le ministère. « Les étudiants pourront constituer en ligne un dossier social étudiant (demande de bourse sur critères sociaux et demande de logement universitaire). Ils auront également la possibilité de transmettre au Crous par voie électronique les pièces justificatives et de suivre en ligne l'état d'avancement du traitement de leur dossier ».