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"La complexité du projet, ainsi que l’hétérogénéité des acteurs, n’ont pas permis de satisfaire aux exigences du jury, et nous comprenons sa décision", déclare Armel de la Bourdonnaye, directeur de l’École des ponts ParisTech, dans une interview à AEF, le 18 février 2016, à propos du projet d’isite non sélectionné de la Comue Paris-Est (lire sur AEF). "L’un des problèmes était que ce projet est né en même temps que le contrat de site, et qu’il a donc cherché à englober toutes les communautés de la Comue, alors qu’un isite doit au contraire se focaliser sur des zones d’excellence", explique-t-il. Armel de la Bourdonnaye revient également sur la stratégie de son école, qui ne veut pas "être enfermée" dans sa Comue et souhaite "collaborer avec les meilleurs dans ses domaines", en France (PSL, Saclay, Sorbonne U...) comme à l’étranger. "Le format des Comue ne nous satisfait pas", dit-il.
Les droits d’inscription à l’ENPC pour la formation conduisant au diplôme d’ingénieur passeront de 1 402 euros à 2 570 euros par an à la rentrée 2014 pour les nouveaux intégrés, indique un arrêté publié au JO du 20 mai 2014. Les droits dus par les ingénieurs-élèves des ponts, des eaux et des forêts (membres du corps du même nom), qui étaient réduits à 759 euros, sont alignés sur ceux des autres élèves. Aucune différenciation n’est faite, en revanche, entre étudiants français et étrangers comme c’est le cas dans les écoles de l’Institut Mines-Télécom (lire sur AEF). Pour accompagner ces augmentations, l’école a prévu dans son budget des exonérations de droits et une hausse des bourses qu’elle distribuera aux étudiants répondant à certains critères, notamment celui du revenu des parents.