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Bordeaux-Montaigne renouvelle ses conseils ces 9, 10 et 11 février 2016 et devrait bientôt compter une présidente, pour remplacer Jean-Paul Jourdan. Les deux listes concourant dans les collèges enseignants du CA sont en effet conduites par deux femmes : Aurélia Gaillard (ex-directrice adjointe de l’UFR Humanités) pour "Tempo" et Hélène Vélasco (actuelle VP CA) pour "Culture Montaigne". Lors de l’élection précédente de 2012, la ligne de fracture passait entre pro et anti-fusion avec les autres universités du site. Le refus d’UBM de fusionner n’est pas contesté aujourd’hui mais, lors du débat interne qui les a opposées le 4 février, chaque candidate a proposé une ouverture : vers plus de coopération transfrontalière et une alliance des universités SHS à la CPU pour Hélène Vélasco ; vers une "vraie politique de site", en s’appuyant sur un VP aux relations extérieures, pour Aurélia Gaillard.
85,8 % des votants de Bordeaux-III Michel de Montaigne se prononcent contre la fusion de leur établissement avec les trois autres universités bordelaises au sein de la NUB (nouvelle université de Bordeaux). « Par ce vote, la communauté de Bordeaux-III a clairement exprimé son refus d'intégrer le processus de fusion », indique l'université vendredi 26 avril 2013, après le dépouillement du référendum organisé les 25 et 26 avril. Ouvert à « tous les personnels ainsi qu'aux étudiants élus » (1), ce référendum a connu un taux de participation de 54,34 %, avec 607 votant sur 1 117 électeurs inscrits. 479 personnes ont voté contre la fusion (85,8 %), 79 pour (14,2 %) et on compte 49 bulletins blancs ou nuls.
Pierre Beylot, l'un des trois candidats à la présidence de l'université Montaigne Bordeaux-III le 23 mars dernier, a déposé, devant le tribunal administratif de Bordeaux, un recours en annulation du scrutin qui a porté à la tête de l'établissement Jean-Paul Jourdan. Le 27 mars dernier, il a demandé au juge d'invalider cette élection au motif que « l'utilisation de téléphones et d'ordinateurs portables pendant et entre les deux tours de ce scrutin constitue une atteinte au secret du vote et à sa sincérité », explique-t-il à AEF mardi 2 avril 2012. Le tribunal ayant 18 mois pour statuer sur cette requête, Pierre Beylot dit envisager aujourd'hui de déposer un référé pour obtenir une décision plus rapide. Jean-Paul Jourdan a été élu par le conseil d'administration de l'université au second tour par douze voix contre huit pour Pierre Beylot, une pour Jean-Yves Coquelin et un vote blanc. Au premier tour, il était à égalité avec Pierre Beylot (huit voix chacun) ; un suffrage s'était porté sur Jean-Yves Coquelin et cinq votes blancs s'étaient exprimés.
La liste « Agir ensemble pour Bordeaux-III » obtient une majorité relative au sein des collèges enseignants du conseil d'administration de l'université Montaigne Bordeaux-III, mardi 6 mars 2011, à l'occasion du renouvellement des trois conseils de l'établissement. Conduite par Pierre Beylot, ancien vice-président du Cevu de 2005 à 2008, sous le mandat du président Singaravelou, cette liste a obtenu sept sièges (six dans le collège A, un dans le collège B), alors que la liste « Bordeaux-III Partages », menée par Jean-Paul Jourdan, vice-président du CA dans l'équipe sortante du président Patrice Brun, en obtient six (un dans le collège A, cinq dans le collège B). La troisième liste, « Alternative », place un seul élu en la personne de sa tête de liste, Jean-Yves Coquelin, VP Cevu de l'équipe sortante, démissionnaire en 2011. « Agir ensemble pour Bordeaux-III » est la seule des trois listes en lice à s'être prononcée favorablement à une participation de Bordeaux-III à la NUB, la future nouvelle université unique de Bordeaux.
Conditions d’éligibilité, montants et durées d’indemnisation. Modes de financement. Ou encore répartition entre les services de l’accompagnement des demandeurs d’emploi d’une part et du versement de leurs allocations de l’autre. Parues en juin et juillet 2022, trois études réalisées par l’Unédic permettent de prendre connaissance des modalités de fonctionnement de l’assurance chômage au Danemark, en Finlande et en Suède. Signe particulier : partout, une part au moins de la couverture est soumise au volontariat des salariés et indépendants, libres d’adhérer ou non à une caisse d’assurance.