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Thierry Lajoie, PDG de Grand Paris Aménagement, estime, le 21 janvier 2016 lors d’un débat sur "les échelles de l’aménagement en Île-de-France" dans le cadre des Journées du Grand Paris de l’EUP, que le contrat d’intérêt national permettra de "fédérer les acteurs, pour dépasser l’ancienne division du travail entre l’État et les collectivités". Dans ces contrats en effet, "l’État n’assure pas le leadership" du projet mais il est "partenaire, soutien, accompagnateur". Daniel Breuiller, conseiller départemental (EELV) en charge du projet "Campus grand parc" à Villejuif (Val-de-Marne), qui fera l’objet d’un CIN, approuve, même s’il revendique un "développement endogène" des territoires, avec une "diversité des acteurs", selon lui mise à mal par le rapprochement de GPA avec deux EPA d’ici un an. Thierry Lajoie défend, lui, cette réorganisation qui permet de "trouver la masse critique".
Si la candidature de Paris est retenue pour accueillir les Jeux olympiques 2024, c’est sur le site "Pleyel Bords de Seine", à cheval sur les communes de Saint-Ouen, Saint-Denis et L’Île-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), que sera implanté le village olympique : ainsi en a décidé l’association Ambition olympique début novembre. "Ce choix a une importance assez considérable" pour Plaine Commune et son territoire, fait valoir, lundi 9 novembre 2015, Patrick Braouezec qui préside la communauté d’agglomération. "Si on veut que des décisions soient prises, il faut que l’on entre dans un partenariat avec l’État très rapidement", pourquoi pas sous la forme d’un CIN, souligne-t-il. Mais "il n’est pas question que GPA intervienne en lieu et place de notre outil d’aménagement, Plaine Commune Développement", prévient l’élu, qui plaide pour que ce document soit un "contrat d’application du CDT".
L’Epfif fait état, au lendemain de la réunion de son conseil d’administration, mercredi 4 novembre 2015, de cessions de fonciers constructibles "records" en 2015 : d’un montant de 130 millions d’euros, elles devraient notamment permettre la réalisation de 4 000 logements. Quant aux acquisitions, elles devraient atteindre 180 millions en 2015, réparties "pour moitié entre les acquisitions diffuses et celles réalisées pour de futures opérations d’aménagement". Des résultats "de bon augure pour le futur grand EPF qui verra le jour au 1er janvier 2016", estime Hicham Affane, président du CA. L’Epfif évalue ainsi pour l’an prochain à 300 millions d’euros le volume d’acquisition et à 190 millions celui des cessions.
Le décret définissant les statuts de Grand Paris Aménagement et abrogeant le décret du 25 avril 2002 relatif à l’AFTRP est paru au JO du 5 août 2015. "Ces statuts ont peu évolué par rapport à ceux de l’Agence foncière", précise l’entourage de Sylvia Pinel à AEF Habitat et Urbanisme, assurant que "l’essentiel des changements viendra des conclusions des ateliers du Grand Paris du logement et des annonces de sites [identifiés pour des opérations d’aménagement emblématiques] dans le cadre du plan de mobilisation pour le logement en Île-de-France". Des annonces qui interviendront "au plus tard au moment du Conseil interministériel prévu début octobre". Le rapport de préfiguration sur le nouvel établissement public Grand Paris Aménagement, commandé à l’actuel PDG de l’AFTRP Thierry Lajoie, n’a toujours pas été rendu public.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.