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Un examen national pour l’épreuve écrite d’entrée dans les écoles d’avocats et un rééquilibrage des taux d’encadrement dans les universités notamment en faveur du droit : telles sont les deux principales "pistes d’amélioration" que fait Thierry Mandon pour "améliorer" la filière droit, même si celle-ci "fonctionne bien". Il s’exprime devant le CND (Conseil national du droit) réuni le 18 décembre 2015 au secrétariat d’État à l’ESR. Autres sujets abordés : la sélection en master, l’agrégation qui doit être "modernisée" et la nomenclature de mentions de master qui peut être ajustée. Par ailleurs, il évoque aussi le doctorat (lire sur AEF).
"La cartographie économique des activités des établissements fait apparaître des coûts à l’étudiant très variables selon les domaines de formation", indique le rapport de l’IGAENR sur "La gestion des heures d’enseignement au regard de la carte des formations supérieures"
La filière droit « n'est pas au cœur de la stratégie des universités », selon la Cour des comptes, qui rend public, lundi 10 septembre 2012, un référé adressé au MESR et au ministère de la Justice, sur « la filière et les formations de droit ». Il intervient à l'issue du contrôle des universités de Caen Basse-Normandie, l'Upec, Paris-II Panthéon-Assas, Paris-Ouest-Nanterre-La-Défense (Paris-X) et Picardie Jules-Verne. La Cour distingue toutefois « deux profils d'universités » : « Paris Panthéon-Assas et Paris-Ouest-Nanterre-La-Défense fondent une partie, voire la totalité, de leur avantage comparatif sur l'offre de formation en droit. La discipline est valorisée (…). Pour un second groupe d'universités, le droit est avant tout une discipline incontournable de premier cycle universitaire, offrant un important contingent d'inscriptions, sans être une préoccupation majeure de l'établissement. La politique de regroupement dans le cadre des PRES ne modifie pas ce constat », indique la Cour.