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"Quels critères pouvons-nous utiliser pour appréhender de manière plus fine et plus précise les phénomènes de réussite et d’échec ?" demande Marc Romainville, responsable du service de pédagogie universitaire de l’université de Namur (Belgique), lors de la première "conférence de consensus" sur la pédagogie, organisée par l’IFÉ à la demande du MENESR, le 16 décembre 2015 (1). Il invite à s’interroger, entre autres, sur "les critères administratifs de performance académique" qui s’appuient sur l’acquisition de crédits ou de notes. Le chercheur déplore "la prédominance de poncifs peu rigoureux sur les causes de l’échec", pouvant conduire au "développement d’une rhétorique politique excessivement culpabilisante". Par ailleurs, il pointe deux caractéristiques spécifiques à l’enseignement supérieur français : les formations sélectives qui ne relèvent pas de l’université et la centralisation.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :