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Le conseil métropolitain du Grand Lyon a adopté, jeudi 10 décembre 2015, le pacte de cohérence territoriale, qui a vocation à "proposer une stratégie de délégation de compétences de la métropole de Lyon aux communes situées sur son territoire" et inversement, "de certaines compétences des communes à la métropole". Il fixe 21 compétences dans quatre grands domaines, qui pourront faire l’objet d’une délégation dans un sens ou l’autre, mais aussi d’une articulation entre les deux niveaux de collectivités ou encore, d’exercice commun des compétences. Parmi les compétences visées, l’instruction des demandes de garantie d’emprunts des bailleurs sociaux ou "l’analyse des conséquences du développement urbain".
Les ministres respectifs de l’Intérieur et de la Décentralisation ont présenté en conseil des ministres, ce 14 janvier 2015, trois projets de loi ratifiant trois ordonnances relatives à la création, au 1er janvier 2015, de la métropole de Lyon : l’ordonnance n°2014-1543 du 19 décembre 2014, qui adapte le cadre institutionnel de Lyon pour permettre la continuité de l’action publique et le bon fonctionnement de la nouvelle métropole, l’ordonnance n°2014-1335 du 6 novembre 2014 qui adapte les dispositions budgétaires, financières et comptables au statut particulier de la métropole (lire sur AEF), ainsi que l’ordonnance n°2014-1539 du 19 décembre 2014 qui détermine le régime électoral applicable à compter du prochain renouvellement général des conseils municipaux suivant la création de la métropole de Lyon, c’est-à-dire en 2020.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.