En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
"Nous commençons à avancer et avoir des résultats. D'ici la fin de l'année, nous aurons signé 10 accords de transfert", indique à AEF Chantal Vernis, présidente de la Satt Lutech, dans un entretien réalisé en novembre 2015. "Nous avons décidé de nous aligner sur les axes stratégiques et scientifiques définis par Sorbonne Universités" dont "l’un est porté le Collegium Musicae et consacré au son au sens large", annonce-t-elle. Ainsi, Lutech a lancé un double appel à projets dans ce domaine intitulé "Be the future of sound", qui devrait "produire des résultats significatifs à transférer". "Pour réduire le risque et accélérer l’apparition de nouvelles innovations, nous allons créer des micro-communautés autour des axes stratégiques de nos actionnaires", annonce-t-elle arguant que "l’innovation ne se décrète pas, elle se vit". Un nouvel AAP sera lancé en janvier sur un autre axe stratégique.
La Satt (société d'accélération du transfert de technologie) Lutech achève le « tour de table » des conventions-cadres avec ses actionnaires, lundi 17 juin 2013, en signant celles conclues avec le CNRS, l'université de technologie de Compiègne, l'université Panthéon-Assas (Paris-II) et le MNHN (Muséum national d'histoire naturelle). « Ces conventions entérinent les modalités d'interaction et de coopération entre les établissements actionnaires et la Satt Lutech en vue d'accélérer le transfert vers les entreprises », indique-t-elle. Par ailleurs, l'Ensci (École nationale supérieure de création industrielle) a posé sa candidature pour devenir actionnaire de la Satt. Son entrée au capital sera examinée lors de la prochaine réunion du conseil d'administration, le 25 juin.