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L’école Rubika, SAS détenue par la CCI du Grand Hainaut et qui comprend trois filières en design (ISD), animation (Supinfocom) et jeu vidéo (Supinfogame), annonce le 4 décembre 2015 son intention d’implanter un 3e campus en Amérique du Nord, après celui de Valenciennes (1987) et celui de Pune, en Inde, ouvert en 2007. C’est la ville de Montréal, au Canada, qui a été choisie par la CCI nordiste pour accueillir ce campus, en raison de son fort tropisme pour les industries créatives du numérique et pour le design. "Nous voulons faire de Rubika la référence mondiale de la formation au jeu vidéo, au design et à l’animation, et pour cela, nous devons être présents à l’international", résume Francis Aldebert, président de l’école et de la CCI. Le cursus sera calqué sur celui de Valenciennes : 5 ans d’études validées par un titre RNCP I. Le coût sera de 15 000 euros par an au Québec.
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Supinfocom Arles, l’école du film d’animation et de l’image de synthèse, prend son indépendance et devient Mopa (Motion Picture in Arles). Créée en 2000 par la CCI d’Arles, l’école était sous contrat de franchise avec son aînée de Valenciennes, lancée deux ans plus tôt. Celle-ci avait déjà changé de nom, en 2013, à l’occasion du regroupement de l’école avec l’Institut supérieur de design et Supinfogame sous la marque Rubika. Mopa reste sous tutelle de la CCI d’Arles. Elle propose un cursus de concepteur réalisateur en 3D en cinq ans. Ses 195 étudiants réalisent chaque année 3 heures de production 3D et 80 films d’exercice. Elle compte 400 diplômés.
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Retrouvez en bref quelques informations récentes intéressant la protection sociale :
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"La France a plutôt bien géré la crise [sanitaire] en 2020-2021 du point de vue de l’emploi, du PIB, de la mortalité et de la santé financière des entreprises", estime le Conseil national de productivité, dans un rapport publié le 16 mai 2022. Ainsi, "la France a été un des premiers pays à rattraper son niveau de PIB d’avant-crise". Pour autant, la croissance de la productivité ne cesse de ralentir dans l’Hexagone. Un recours accru au télétravail pourrait permettre d’inverser la tendance, bien que ses effets restent "incertains".
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