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L’École des mines d’Alès et Kedge business school signent le 30 novembre 2015 un partenariat visant à la création de programmes communs. Objectif : développer l’approche transdisciplinaire pour former des "cadres hybrides de haut niveau" possédant une solide formation scientifique et technique et maîtrisant les démarches managériales innovantes adaptées au contexte économique en pleine mutation technologique, expliquent les deux écoles. À partir de septembre 2016, un double diplôme "ingénieur manager" va être proposé aux étudiants ingénieurs des Mines d’Alès, suivi à la rentrée 2017 par un mastère pour les étudiants de Kedge dans une discipline de l’École des Mines. En 2018, l’accord permettra un double diplôme "manager ingénieur" pour les étudiants du PGE de Kedge, puis un diplôme hybride "ingénieur manager designer" sera créé en septembre 2019.
Le CA de l’École des mines d’Alès a validé, jeudi 3 avril 2014, le rapatriement de ses activités formation et recherche de Nîmes à Alès (Gard) à compter de 2017, ainsi que la mise en œuvre du plan de restructuration annoncé fin 2013 (lire sur AEF). La subvention de 900 000 € promise par la CCI, complétée par les 200 000 € de la ville de Nîmes et de la communauté d’agglomération, n’auront donc pas suffi à convaincre l’école que son équilibre budgétaire serait préservé dans les prochaines années. Pour la ville de Nîmes et Nîmes Métropole, cette décision est "incompréhensible […] dans la mesure où les conditions posées lors du CA précédent ont été honorées". Les deux collectivités en appellent désormais à Manuel Valls. Elles comptent sur l’engagement local à Nîmes de Sébastien Gros, chef de cabinet du Premier ministre qui est élu de l’opposition (n°2 sur la liste PS).
La députée socialiste et spécialiste des questions d’énergie, Marie-Noëlle Battistel, réagit pour AEF info à l’actualité récente et au vote du projet de loi sur le nucléaire. Dans une interview réalisée mercredi 22 mars 2023 au matin (soit avant l’allocution d’Emmanuel Macron prévue à 13 heures), elle fait part de son inquiétude quant à la réelle volonté du gouvernement de présenter une loi de programmation énergie-climat. Elle espère aussi que les conséquences du recours au 49.3 et le souci de préserver la démocratie parlementaire "amènent le gouvernement à plus d’humilité et plus de travail collectif, afin qu’il campe moins dans ses certitudes".