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Anne Hidalgo, maire de Paris, Marie-Christine Lemardeley, son adjointe chargée de l’ESR, et Thierry Coulhon, président de PSL, ont inauguré le 26 novembre 2015 un espace de 260 mètres carrés dans le 5e arrondissement parisien (1), baptisé "PSL Lab", et dédié aux étudiants entrepreneurs inscrits dans le programme Pepite de PSL. Ouvert depuis début octobre, il abrite 40 postes informatiques, des espaces de travail collaboratif et une cafétéria, et restera ouvert de 8h à 23h, 7 jours sur 7. Cofinancé à parité par les fonds de l’idex de PSL et par la mairie de Paris dans le cadre de son appel à projets sur les espaces de travail collaboratifs étudiants-entrepreneurs, le coût du PSL Lab est d’environ 500 000 euros. Le lieu accueille aussi une partie des équipes administratives de PSL (communication, entrepreneuriat et valorisation, etc.).
Les étudiants issus du cycle pluridisciplinaire d’études supérieures (CPES) du lycée Henri-IV et de PSL qui ont candidaté ou ont été admis à l’école Polytechnique ont "un bon niveau en mathématiques", explique à AEF Michel Gonin, directeur des concours de l’X le 7 octobre 2015. Sur les 18 places ouvertes au concours de la voie "universitaire", 4 étudiants issus de la première génération de diplômés, reconnus au grade de licence du CPES ont intégré l’école (lire sur AEF). Sept avaient candidaté, ce résultat est donc "significatif", "c’est un taux de réussite important", reconnaît Michel Gonin. Comment se situent-ils par rapport au reste des candidats universitaires ? "En math, ils sont un peu meilleurs" et "particulièrement bien formés et adaptés à notre formation", explique-t-il sans préjuger de leur réussite future au sein de l’école.
Tous les projets de création de Pepite ont été retenus par le MESR, indique Jean-Michel Jolion, chef du service de la stratégie de la Dgesip, lors d’un atelier organisé dans le cadre des RUE, vendredi 21 février 2014. Ces pôles doivent devenir des "lieux de réference" pour l’entrepreneuriat et permettront de "couvrir 100 % de l’enseignement supérieur français", avait précédemment indiqué Geneviève Fioraso, lors une conférence de presse le 18 février. Ils doivent permettre de pallier "le manque d’interlocuteurs dédiés et identifiés" à l’entrepreneuriat. En termes de financements, "4,6 millions d’euros sur trois ans" seront répartis entre les pôles qui pourront bénéficier de postes "dans le cadre de la politique de site", selon Jean-Michel Jolion. En outre, des financements issus "du PIA vont être annoncés", indique Jean-Pierre Boissin, coordinateur national des Pepite.