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Environ un agent sur trois de la fonction publique a eu au moins un arrêt maladie en 2013, contre 28 % des salariés du secteur privé, mais les agents de la fonction publique, en particulier les agents de l’État, s’arrêtent moins longtemps que les salariés du secteur privé: 52 % de ceux qui ont été absents au moins une fois pour maladie se sont arrêtés moins de 8 jours contre 46 % des salariés du privé, selon l’enquête Conditions de travail 2013 citée dans le "Rapport annuel 2015 sur l’état de la fonction publique", dont une version projet a été présentée mardi 24 novembre 2015 en assemblée plénière du CCFP (Conseil commun de la fonction publique) avant d’être mise en ligne. Selon cette étude, les salariés ayant eu des arrêts de travail pour raison de santé dans l’année déclarent des expositions aux risques professionnels et psychosociaux plus importantes.
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Une circulaire de la ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique et datée du 27 février 2014 précise « le dispositif mis en place pour lutter contre l'absentéisme injustifié » à la suite de la suppression du jour de carence dans la fonction publique par la loi de finances pour 2014. Partant du principe que l'abrogation de cette mesure mise en place en 2012 ne doit pas « faire renoncer à l'objectif de lutter contre les arrêts abusifs », Marylise Lebranchu rappelle sa volonté de renforcer « les obligations des fonctionnaires en la matière ». La LFI prévoit notamment une sanction financière en cas de non transmission de l'arrêt maladie sous 48 heures et l'expérimentation de la délégation du contrôle de ces arrêts aux CPAM est prolongé jusqu'à fin 2015. La ministre insiste également sur « les mesures de prévention » et les conditions de travail.