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Des bureaux individuels ou pour deux personnes, non attribués : tel est le principe sur lequel reposent les nouveaux espaces de travail que Bayer teste sur son site du IX arrondissement de Lyon, et qui ont été présentés à la presse le 19 novembre 2015. "Ces espaces pilotes seront une vitrine pour le reste des locaux", explique le directeur financier, Rodolphe Spina. Pour aboutir à la nouvelle organisation des espaces, Bayer a associé les 45 salariés concernés via des groupes de travail "pluridisciplinaires". Une méthode qui satisfait certaines organisations syndicales, à l’instar de la CFDT. "Si les décisions sont prises au plus près des salariés, cela a plus de chances de fonctionner", estime-t-elle. D’autres, comme la CGT, regrettent que le cadre ait été préalablement "fixé" par la direction, même s'"il y a eu des groupes de travail".
Bayer Santé, SAS qui regroupe près de 1 000 salariés au sein du groupe Bayer Schering Pharma, veut « résorber » d'ici le 31 décembre 2010 « d'éventuels écarts non justifiés de rémunérations entre les femmes et les hommes », comme le prévoit la loi du 26 mars 2006 relative à l'égalité salariale entre les femmes et les hommes. Après une première vague d'augmentation de salaires en juin 2009, l'entreprise prévoit de compléter le « rattrapage » en janvier 2010. Cette disposition est l'une des mesures prévue par l'accord d'entreprise sur « l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes » paraphé le 13 mai 2009 par l'ensemble des organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO et Unsa), pour une durée indéterminée.
"Contrairement aux idées reçues, le télétravail est plus exigeant pour le collaborateur que pour son entreprise", estime Luc Derache, directeur des ressources humaines de BSP (Bayer Schering Pharma). L'entreprise pharmaceutique, constituée après le rachat de Schering par le groupe Bayer, a proposé début 2008 aux salariés de l'ancien siège parisien de Bayer de venir travailler à Lille, en bénéficiant s'ils le souhaitaient d'une formule de télétravail. Une manière d'éviter la "fuite des cerveaux". Finalement, soixante-sept salariés ont accepté de travailler la moitié de la semaine chez eux, l'autre moitié dans le Nord. Un an après, Luc Derache dresse un premier bilan de cette expérience.
Près de soixante salariés du siège parisien de Bayer ont choisi d'intégrer la nouvelle société Bayer Schering Pharma (BSP), après le rachat de Schering par le groupe Bayer. Ils devront donc quitter Puteaux (Hauts-de-Seine) pour travailler à Lille (Nord). Afin d'éviter la fuite des cerveaux dans un secteur très concurrentiel, la direction de BSP a choisi de proposer à ses collaborateurs une solution de télétravail. Lorsque l'idée a été lancée, à l'automne 2007, il restait encore beaucoup d'inconnues (L'AEF n°321127). Aujourd'hui, l'entreprise a finalisé son projet après l'avoir négocié avec les partenaires sociaux. Luc Derache, directeur des ressources humaines de BSP, répond aux questions de L'AEF.