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"Les entreprises essaient de diversifier leur recrutement. […] Nous devons convaincre les grands industriels que le produit CMI est une réponse alternative crédible à leur souhait de diversifier leurs publics", indique Yves Bertrand, président du réseau Figure, lors de son assemblée générale, jeudi 12 novembre 2015 à l’UPMC (1). Il revient également sur l’absence du label CMI sur APB, qui est pourtant "une condition très importante de visibilité". Yves Bertrand dresse "un bilan à mi-parcours" en soulignant l’ouverture du CMI aux autres champs disciplinaires, la place de la recherche dès la L1 comme outil pédagogique, l’augmentation des effectifs avec 1 000 étudiants en 2014, le budget de plus de 4,5 millions d’euros pour l’ensemble des universités. Jean-Pierre Gesson, responsable des relations internationales du réseau, présente quant à lui "les enjeux internationaux".
« Nous le disons clairement aux étudiants et diplômés de cursus master en ingénierie (1) : ils n'ont pas le titre d'ingénieur. Mais ils ont vocation à occuper des postes d'ingénieurs spécialisés, porteurs d'innovation. Nous ne nous battons donc pas pour l'accès de nos diplômés au titre d'ingénieur car cette polémique est vaine dès lors que l'accès aux fonctions d'ingénieurs n'est pas réglementé ». C'est ainsi que Patrick Porcheron, vice-président du réseau Figure (2), réagit pour AEF le 8 novembre 2013, aux propos tenus par Christian Lerminiaux, président de la Cdefi, lors d'une table-ronde organisée à Chimie ParisTech la veille, en présence notamment de la ministre, Geneviève Fioraso, et de Philippe Jamet, président de la CGE. Pour Christian Lerminiaux, « toute formation qui ne serait qu'un succédané des formations d'ingénieurs, sans titre d'ingénieur, mérite clairement d'être désignée en disant 'attention' ».
Un syndicat non-signataire du protocole d’accord préélectoral mais affilié à une fédération ou à une union de syndicats qui a signé ce PAP, qu’elle soit ou non représentative, ne peut contester la validité de ce protocole. Dès lors, le syndicat ne peut demander l’annulation à ce titre des élections professionnelles dans l’entreprise. C’est ce que considère la Cour de cassation dans un arrêt publié du 22 mars 2023.