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La France conserve sa troisième place pour la cinquième année consécutive au classement des "100 premiers innovateurs mondiaux", publié par Thomson Reuters (1) jeudi 12 novembre 2015. "La France reste en tête du continent européen avec 10 institutions présentes cette année dans le top 100, contre 7 l’année dernière", fait observer Thomson Reuters (lire sur AEF). Thales et Valeo font leur retour dans le classement et Alstom, son entrée. Le classement est toujours largement dominé par le Japon (40 institutions classées) devant les États-Unis (35). Suivent l’Allemagne, la Suisse et la Corée du Sud. La Chine ne fait plus partie du classement. En termes de secteurs industriels, les entreprises de la chimie, des semi-conducteurs et de l’automobile sont les plus représentées.
La France figure en troisième position au niveau mondial du classement 2013 des « 100 premiers innovateurs mondiaux » publié lundi 7 octobre 2013 par Thomson Reuters (1). Ainsi, douze groupes français prennent place dans le classement, contre treize l'année dernière (Renault sort du classement). Thomson Reuters estime qu'il y a une « corrélation directe entre l'engagement du gouvernement français en matière d'innovation et sa politique fiscale avantageuse en matière de R&D qui permet d'attirer et de retenir des entreprises innovantes ». « La France domine encore une fois le classement européen en matière d'innovation et c'est en grande partie grâce au crédit impôt recherche », analyse le cabinet américain.
La France se classe en troisième position au niveau mondial et en première position au niveau européen du classement 2012 des « 100 premiers innovateurs mondiaux » publié le 4 décembre 2012 par Thomson-Reuters. Treize de ses organismes et entreprises sont considérés par l'étude comme faisant partie des 100 organisations les plus innovantes dans le monde – contre onze en 2011. Pour établir son classement, Thomson-Reuters se fonde sur quatre critères liés aux brevets déposés : le « taux de succès » (la différence entre les brevets déposés et ceux validés), la « dimension mondiale » (reconnaissance du brevet au-delà du pays d'origine), le fait qu'ils reposent « sur des innovations réelles » (et non sur l'amélioration de techniques existantes), et enfin leur « influence » (le nombre de fois où un brevet d'origine est cité par d'autres demandeurs).