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Le REF (Research excellence framework), le nouvel exercice britannique d’évaluation de la recherche lancé en 2014, "doit être programmé suffisamment souvent pour que le gouvernement britannique puisse identifier et financer les centres d’excellence scientifique nouveaux ou en développement où qu’ils soient", expose le ministre des Universités et de la Science du Royaume-Uni, Jo Johnson, dans la présentation de son plan "Enseigner pour l’excellence" rendu public le 6 novembre 2015 (lire sur AEF). Une nouvelle évaluation est prévue "d'ici 2021". Le coût du REF 2014 a été estimé à 246 M£ (346 M€) contre 66 M£ (93 M€) pour le programme d’évaluation précédent, le RAE (Research assesment exercise), en 2008. Il est donc "important" aux yeux de Jo Johnson de "relever le défi du coût et de la bureaucratie" qui y sont liés. Le HEFCE serait supprimé.
« À partir de 2014, le Royaume-Uni utilisera un nouveau système d'évaluation de la qualité de la recherche universitaire, le REF (Research excellence framework). (…) La grande nouveauté du REF est d'ajouter à l'évaluation [existante], menée par des panels d'experts par discipline, la prise en compte de l'impact socio-économique de la recherche. » C'est ce qu'écrit Adélaïde Ploux-Chillès, auteure d'un rapport intitulé « Évaluation de la recherche universitaire, exemple du Research excellence framework au Royaume-Uni », supervisé par Maggy Heintz et édité par le service pour la Science et la technologie de l'Ambassade de France au Royaume-Uni en août 2012. L'inclusion du nouveau critère d'impact produit, selon ce rapport, « des réactions fortes et contrastées ». « Une certaine incertitude pèse sur la manière dont il va être évalué. Il risque par ailleurs d'alourdir l'exercice. Enfin, pour beaucoup, c'est un critère d'évaluation en faveur de la recherche appliquée au détriment de la recherche fondamentale. »
À l’université de Bordeaux, la mise en place de la nouvelle équipe présidentielle de Dean Lewis a conduit les collèges DSPEG et Sciences et technologies à renouveler leurs directions. Jean-Christophe Saint-Pau, doyen de la faculté de droit et président de la conférence des doyens de droit et de science politique depuis 2019, a été élu le 7 juin 2022 à la tête du collège DSPEG. Il y succède à Samuel Maveyraud, devenu vice-président finances et moyens. Christophe Champion, directeur de l’unité de formation de physique, a été porté le 16 juin à la tête du collège bordelais S&T, en remplacement de Pascal Lecroart, désormais VP formation et vie universitaire. Les deux autres collèges d’UBx conservent leurs directions inchangées : Virginie Postal-Le Dorse (Sciences de l’homme) et Jean-Luc Pellegrin (Santé).