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Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°509535

CDD non renouvelés et requalification : le juge doit vérifier les motifs énoncés dans la lettre de non-renouvellement

Un employeur qui met un terme à une succession de CDD peut vouloir se prémunir contre les risques liés à la requalification en énonçant dans un écrit les motifs de ce non-renouvellement. Si un juge requalifie en CDI cette succession de CDD, il ne peut analyser la rupture des relations contractuelles en CDD en un licenciement sans cause réelle et sérieuse s’il n’a pas examiné les motifs avancés par l’employeur dans cette lettre de non-renouvellement. Il doit rechercher si cette lettre vaut lettre de licenciement et si les motifs de rupture énoncés constituent des griefs matériellement vérifiables permettant de décider si le licenciement a une cause réelle et sérieuse. C’est ce que rappelle la Cour de cassation dans un arrêt du 20 octobre 2015 concernant un ancien imitateur des Guignols de l’Info en litige avec la société produisant cette émission.

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