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Antoine Gini est nommé directeur de cabinet auprès de Véronique Wallon, directrice générale de l'ARS Rhône-Alpes, indique l’agence début octobre 2015. Ce poste "remplace celui de chef de cabinet précédemment tenu par […] Hélène Carnat-Lahure", qui a quitté ses fonctions, et est créé "dans la perspective de la fusion des ARS Auvergne et Rhône-Alpes le 1er janvier 2016". Diplômé en 1999 de l’EHESP de Rennes, Antoine Gini commence sa carrière en tant qu’inspecteur de l’action sanitaire et sociale à l’ex-Ddass de Paris, puis rejoint la Drass Rhône-Alpes en 2001. En 2010, lors de la création de l’ARS, il intègre la direction de la santé publique en tant qu’inspecteur principal, avant d’être nommé chef de service en charge du suivi des professionnels de santé et des internes (2011). En 2013, il devient responsable du pôle qui intègre ce service et celui de l’offre de soins de premier recours.
"Un lieu d’échanges et de réflexion sur les pratiques et les préoccupations des centres de santé" : tel est le rôle du GRCS-RA (groupement régional des centres de santé de Rhône-Alpes), né de manière associative en 2012, "au moment de la création des ARS", explique Anna Cruaud, sa coordinatrice, à l’AEF. Le groupement tenait, fin juin 2015, son assemblée générale. Anna Cruaud revient sur le contexte dans lequel est né le GRCS et sur ses réalisations : "Se regrouper a d’abord aidé les centres à se faire connaître par l’ARS, ses commissions régionales, et le Conseil régional", dit-elle. "Désormais, le groupement participe aux réunions des instances régionales, est intégré à la réflexion avant la décision."
"À l’heure actuelle, les détenus peuvent être soignés soit par des médecins généralistes, soit par des psychiatres", mais pour les consultations auprès de spécialistes, "c’est plus compliqué" : c’est donc pour "améliorer l’offre de soins" pour cette population que l’ARS Rhône-Alpes déploie actuellement un projet de télémédecine en milieu pénitentiaire, explique à l’AEF Sylvie Ynesta, médecin, en charge de ce projet à l’agence. Celle-ci a lancé un appel à projets en 2012, pour déployer la télémédecine en milieu pénitentiaire. Douze des treize unités hospitalières de service de la région, situées dans autant d’établissements pénitentiaires, y ont répondu.