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Le Sénat a adopté une proposition de résolution pour le soutien au plan d’électrification du continent africain "plan Électricité - Objectif 2025", le 22 octobre 2015. Elle avait été déposée au Sénat par Jean-Marie Bockel (UDI-UC, Haut-Rhin) le 22 juin 2015. Ses auteurs souhaitent "que la France appuie la démarche engagée par la fondation 'Énergies pour l’Afrique' [créée par l’ancien ministre Jean-Louis Borloo] visant notamment à électrifier l’ensemble du continent africain" et forment "le souhait que le gouvernement puisse y prendre sa juste part par toutes mesures utiles, diplomatiques ou financières, afin de rappeler que l’avenir de la France et de l’ensemble de l’Europe se joue autant au sud qu’au nord de la mer méditerranée". La veille, le Sénat a aussi adopté une proposition de résolution relative aux déplacés environnementaux déposée par Esther Benbassa (Écolo, Val-de-Marne).
« Promouvoir l'économie responsable et l'engagement sociétal des entreprises » est la proposition n°8 du rapport « Un partenariat pour l'avenir : quinze propositions pour une nouvelle dynamique économique entre l'Afrique et la France », rédigé par Hubert Védrine, Lionel Zinsou, Tidjane Thiam, Jean-Michel Severino, et Hakim El Karoui, à la demande du ministre de l'Économie et des Finances Pierre Moscovici, et publié mercredi 4 décembre 2013, deux jours avant le début du sommet de l'Élysée pour la paix et la sécurité en Afrique. Il propose notamment d' « amplifier le soutien apporté aux pays africains pour une meilleure prise en compte de la RSE », « veiller au niveau d'exigence en RSE dans les processus d'appels d'offres des financements de l'AFD (Agence française de développement) », « créer au sein du groupe AFD un point d'entrée pour le financement de l'économie sociale et solidaire tourné vers le continent africain ».
La France a signé avec la Banque mondiale l'accord de création de l'Initiative pour des industries extractives soutenables en Afrique, lors de l'assemblée annuelle de la Banque mondiale du 11 au 13 octobre 2013, rapporte le ministre de l'Économie et de Finances conseil des ministres du mercredi 16 octobre. « La France apportera dix millions de dollars (7,3 millions d'euros) à cette initiative, qu'elle a contribué à initier », indique Pierre Moscovici. Elle a pour but de « fournir une assistance juridique aux pays africains dans la négociation et la mise en œuvre des grands contrats internationaux pour leur permettre de tirer le meilleur parti de l'exploitation de leurs ressources extractives et minières ».
« Le sujet de la RSE prend de l'ampleur en Afrique et suscite l'intérêt des autorités et des parties prenantes », rapporte Thierry Téné, président du cabinet d'expertise Institut Afrique RSE, qui organisait une conférence sur « les enjeux de la RSE en Afrique », mardi 10 septembre 2013. Il organise pour la troisième année consécutive un « forum international des pionniers de la RSE en Afrique », cette fois à Accra au Ghana du 27 au 28 novembre 2013. Si l'exemple du Cameroun montre que le concept de RSE est encore timide et est souvent confondu avec du mécénat, certaines entreprises, soit poussées par leur maison-mère occidentale, soit conscientes de l'intérêt de la RSE, commencent à s'engager dans des démarches. Elles sont parfois guidées par des investisseurs pour la mise en place d'une stratégie.
Trois nouveaux territoires ont reçu un avis favorable du Fonds d’expérimentation Territoires zéro chômeur de longue durée, fait savoir l’association, mardi 17 mai 2022. Ce sont les territoires des "Portes du Morvan" dans la Nièvre, de Pau (quartiers Foirail, Montpensier, Triangle, Les Anglais) dans les Pyrénées-Atlantiques, et de Gerzat-les Vergnes dans le Puy-de-Dôme ; un arrêté du ministère du Travail doit prochainement officialiser ces habilitations. Au total, le nombre de territoires concernés par l’expérimentation s’élève désormais à 24.