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"La base de données de la GRI (Global reporting initiative) contenait 29 000 rapports RSE au 30 septembre 2015, dont 82 % respectant les lignes directrices de la GRI. 131 rapports ont été publiés en France en 2014, dont 58 % sont GRI (contre 77 % dans le monde)", rapporte Dolores Larroque, directrice de Materiality-reporting, GRI data partner pour la France. Elle organisait en partenariat avec TF1 une conférence intitulée "GRI-G4 : 2 ans déjà", mardi 13 octobre 2015. En 2014, 15 entreprises françaises ont initié une démarche pour appliquer la G4, dernière version des lignes directrices du GRI (lire sur AEF). Bel, Gecina, Lagardère, TF1 et Worldline font un point sur les avantages de la démarche et les difficultés auxquelles ils ont été confrontés.
La GRI (Global reporting initiative) annonce la mise en place d’une "structure de gouvernance séparée et dédiée à la création de normes", jeudi 6 novembre 2014. Lancée au 31 janvier 2015, elle comprendra trois nouveaux organes : "le GSSB (Global sustainability standards board) qui développera et approuvera les normes de reporting de durabilité, le DPOC (Due process oversight committee) qui veillera à l’application du protocole de la GRI, et l’IAC (Independent appointments committee) qui nommera les personnes qualifiées et indépendantes du GSSB et du DPOC."
Un an après le lancement des nouvelles lignes directrices de la GRI (Global reporting initiative), dites G4, quel est le niveau d’appropriation par les entreprises ? La conférence du C3D (Collège des directeurs du développement durable) organisée jeudi 12 juin 2014 sur le thème du reporting extrafinancier s’est penchée sur la question (lire sur AEF). TF1 prépare depuis le début de l’année son rapport selon la version G4, qui sera bientôt disponible en version interactive. Sa coordinatrice RSE revient sur l’exercice de matérialité qu’elle a mené. Le groupe Bel explique sa démarche, dans laquelle la GRI a été utilisée à la fin comme une boîte à outils. Dolores Larroque, de Materiality-reporting, fait un tour d’horizon du reporting intégré.
La GRI (Global reporting initiative) présente la nouvelle version de ses lignes directrices pour le reporting extrafinancier, intitulée G4, récemment traduites en français, mercredi 27 novembre 2013, au siège de TF1, en partenariat avec le Global Compact France. Le lancement international officiel avait eu lieu à Amsterdam en mai 2013 (AEF n°189199). La nouvelle version met l'accent sur le concept de « matérialité » : les entreprises doivent axer leur reporting sur les sujets les plus pertinents selon leur secteur d'activité et leurs impacts.
La GRI (Global reporting initiative) lance la G4, la nouvelle version de ses lignes directrices pour le reporting extrafinancier, lors de sa conférence annuelle à Amsterdam du 22 au 24 mai 2013, qui a réuni 1700 spécialistes. Elle introduit deux niveaux de conformité à la GRI, et met l'accent sur le concept de matérialité : les entreprises doivent axer leur reporting sur les sujets les plus pertinents selon leur secteur d'activité et leurs impacts. Les utilisateurs auront deux ans pour faire la transition vers cette nouvelle génération d'indicateurs, qui vise à « aider les organisations à produire des rapports plus stratégiques, anglés, crédibles et utiles » (AEF n°202941). Les retours d'expérience seront pris en compte par la GRI.