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La France se classe au 22e rang du classement international sur la compétitivité publié par le Forum économique mondial (Suisse), mercredi 30 septembre 2015 (1), soit un gain d'une place par rapport à l'année dernière (lire sur AEF). Le classement est dominé pour la septième année consécutive par la Suisse, qui devance Singapour, les États-Unis, l’Allemagne, les Pays-Bas et le Japon. Sur le seul critère de l’innovation, la France occupe la 20e place (21e en 2014). En revanche, la France perd une place dans ces trois catégories : "qualité des institutions scientifiques" (13e), "protection de la propriété intellectuelle" (14e) et "dépenses de R&D des entreprises" (16e). En ce qui concerne la "collaboration entre les universités et l’industrie", la France conserve la 29e place du classement.
La France se classe au 23e rang du classement international sur la compétitivité publié par le Forum économique mondial (Suisse), le 3 septembre 2014 (1), soit la même place que l'année dernière. Le classement est dominé pour la sixième année consécutive par la Suisse, qui devance Singapour, les États-Unis, la Finlande, l’Allemagne et le Japon. Sur le seul critère de l'innovation, la France occupe la 21e place, soit un recul de cinq places par rapport à 2013 (lire sur AEF), et figure au 13e rang pour ce qui concerne la protection de la propriété intellectuelle (12e l’année dernière). La France gagne aussi une place pour la qualité des institutions de recherche scientifique (12e) et reste au 15e rang pour les dépenses de R&D des entreprises.
La France se classe au 23e rang du classement sur la compétitivité et l'innovation, publié par le Forum économique mondial (Suisse), mercredi 4 septembre 2013 (1). La France recule de deux places par rapport à l'année dernière. Le classement est dominé pour la cinquième année consécutive par la Suisse, qui devance Singapour, la Finlande, l'Allemagne et les États-Unis. Par ailleurs, la France occupe la 16e place en ce qui concerne l'innovation et le 12e rang pour la protection de la propriété intellectuelle. En outre, la France prend la 5e place mondiale pour la qualité de ses écoles de commerce et la 15e position pour l'enseignement des maths et des sciences. Le rapport souligne « la qualité de l'enseignement primaire, de l'enseignement supérieur et de la formation », qualifiés « d'atouts » pour la France qui se classe à la 24e position mondiale sur ces deux critères.
La France se classe en troisième position au niveau mondial et en première position au niveau européen du classement 2012 des « 100 premiers innovateurs mondiaux » publié le 4 décembre 2012 par Thomson-Reuters. Treize de ses organismes et entreprises sont considérés par l'étude comme faisant partie des 100 organisations les plus innovantes dans le monde – contre onze en 2011. Pour établir son classement, Thomson-Reuters se fonde sur quatre critères liés aux brevets déposés : le « taux de succès » (la différence entre les brevets déposés et ceux validés), la « dimension mondiale » (reconnaissance du brevet au-delà du pays d'origine), le fait qu'ils reposent « sur des innovations réelles » (et non sur l'amélioration de techniques existantes), et enfin leur « influence » (le nombre de fois où un brevet d'origine est cité par d'autres demandeurs).
La Suisse se classe au premier rang des pays offrant un « environnement favorable à l'innovation » selon la troisième édition du GII (indice mondial de l'innovation), publié par l'Insead, le 30 juin 2011. Suivent ensuite la Suède, Singapour, Hong Kong, la Finlande, le Danemark, les États-Unis, le Canada, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, soit six États européens. La France se classe elle à la 22e position et à la 36e position pour ce qui est de « l'indice d'efficacité d'innovation ».
« Avec, en 2008, 42,8 milliards de dollars (33 milliards d'euros) de dépenses intérieures de R&D, la France figure au cinquième rang mondial, derrière les États-Unis, le Japon, la Chine et l'Allemagne », selon le « tableau de bord 2010 de l'attractivité de la France », présenté lundi 19 juillet 2010 par David Appia, président de l'Afii (Agence française pour les investissements internationaux), Josselin Kalifa, chef du pôle commerce extérieur à la direction générale du Trésor, Vincent Chiriqui, directeur général du CAS (Centre d'analyse stratégique) et Pierre Dartout, délégué à l'Aménagement du Territoire et à l'Attractivité régionale. « Ce tableau de bord est un outil d'information, mais aussi de suivi de la position de la France dans un environnement rendu plus concurrentiel par la crise économique », précise David Appia. Grâce à de nombreux indicateurs (qualité des infrastructures, intensité de la R&D, efficacité des services publics etc.), la France est comparée à onze pays qui ont « un poids important dans les investissements internationaux ».