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L’IGF, le CGEIET et le CGEDD recommandent de "supprimer sur trois ans l’abondement de Bpifrance auprès des SRC (structures de recherche sous contrat) en ciblant en priorité les structures dont le positionnement et les prestations sont les moins privilégiés par les clients industriels". "En parallèle, Bpifrance pourrait inciter les SRC à obtenir des aides par les voies 'traditionnelles' (aides à l’innovation, FUI, PSPC, Horizon 2020, etc.)", suggèrent les inspections dans un rapport conjoint de juin 2015 sur la "revue de dépenses relatives aux aides à l’innovation". Cette réduction du financement des SRC correspondrait à des économies de 2,8 M€ par an, soit 8,5 M€ à trois ans. Dans un communiqué daté du 28 septembre 2015, l’ASRC "conteste la méthode et la pertinence de cette recommandation" amenant à de "fausses économies". Elle plaide pour "consolider la ligne budgétaire du dispositif".
La Satt Conectus Alsace et l'ASRC (Association des structures de recherche sous contrat) signent une convention visant à « développer de nouveaux partenariats au service de la compétitivité des entreprises françaises », annoncent-elles, mardi 28 janvier 2014. Cet accord, d'une durée de trois ans, permettra « d'accroître la diffusion des technologies issues des laboratoires publics alsaciens vers les entreprises, notamment les PME et les ETI (entreprises de taille intermédiaire) ». « Nous avons une approche qui consiste à externaliser les projets de maturation que l'on finance. C'est pourquoi nous nous tournons vers des partenaires tels que les SRC », précise à AEF Nicolas Carboni, président de Conectus Alsace.
« Pour beaucoup, demeure encore aujourd'hui une représentation erronée du monde de la recherche et de l'innovation qui se réduit d'un côté aux acteurs publics de la recherche et de l'autre aux entreprises », écrit l'ASRC (Association des sociétés de recherche sous contrat) dans un document intitulé « neuf propositions de l'ASRC pour le pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi », diffusé vendredi 16 novembre 2012 (AEF n°202938). Pour l'association, cette situation « fait l'impasse sur les acteurs plus discrets tels que les SRC (structures de recherche sous contrat [1]) qui oeuvrent depuis plus de trente ans pour le maintien de l'activité industrielle en France en proposant aux PME, ETI (entreprises de taille intermédiaire) et grands groupes français des technologies permettant de franchir la vallée de la mort technologique ». « Cela s'est traduit, à regret, par l'impossibilité des SRC de présenter dans le cadre des investissements d'avenir des modèles originaux, basés sur leur singularité et leur positionnement unique, de valorisation », pointe l'ASRC (AEF n°235496).