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Une nouvelle ONG britannique InfluenceMap publie son classement des grandes entreprises selon leur influence, positive ou négative, sur les politiques climatiques, mercredi 16 septembre 2015. Son étude met en lumière l’écart entre les déclarations de bonnes intentions et l’activité de lobbying. L’objectif est d’éclairer les décisions des investisseurs sur leur responsabilité sociétale. Parmi les entreprises françaises, les mieux notées sont Vinci (C +), L’Oréal et Orange (C), tandis que Total récolte un E +, au même niveau que Lukoil, Rio Tinto ou encore Schlumberger. Selon l’étude, au niveau européen, les lobbies ayant "l’influence la plus néfaste" sont le Medef et le Cefic. Les critiques qui lui sont adressées sont "totalement infondées", estime le Medef. Total n'a pas encore réagi.
Oxfam dénonce l'existence d’un "triangle toxique" dans le secteur des énergies fossiles : "des investisseurs privés cherchant le profit à court terme, des gouvernements qui manquent de volonté politique et un lobby industriel qui fait pression pour maintenir le statu quo". L’ONG publie un rapport intitulé "Alimentation, énergies fossiles et financements indécents", vendredi 17 octobre 2014. À l'échelle nationale, Oxfam appelle le gouvernement à "mettre fin aux subventions publiques dont bénéficie le secteur des énergies fossiles, notamment le secteur du charbon" et à "encadrer la transparence du secteur privé en obligeant les entreprises et le secteur financier à publier son empreinte carbone et à se désinvestir des énergies fossiles".
Ce n’est pas un hasard si le pouvoir d’achat a été au cœur des débats de la campagne présidentielle, et continue de figurer parmi les priorités des Français. Certes, selon des données publiées par la Dares le 13 mai 2022, l’indice du SMB (salaire mensuel de base) de l’ensemble des salariés a progressé de 2,3 % entre fin mars 2021 et fin mars 2022, et l’indice du SHBOE (salaire horaire de base des ouvriers et employés) de 2,5 %. Mais ces augmentations sont loin de compenser l’inflation, qui sur la même période s’élève à 4,6 %. Ainsi, "sur un an et en euros constants, le SHBOE diminue de 2,1 % et le SMB de 2,3 %".
Par catégorie professionnelle, le salaire mensuel de base recule, en euros constants :