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Le Premier ministre a présenté une communication relative à la réforme de l’administration territoriale de l’État, en conseil des ministres, vendredi 31 juillet 2015. Il détaille les décisions prises par le gouvernement pour accompagner la création des "sept nouvelles régions", qui se substitueront aux 16 régions actuelles. "La nouvelle organisation, en préservant la répartition actuelle de l’emploi public, permet […] de limiter les mobilités géographiques, de l’ordre de 1 000 agents sur les trois années de mise en œuvre de la réforme", indique le compte rendu. Cette réforme est aussi décrite comme une "occasion de muter vers une administration 3.0". Lors de ce conseil des ministres, les noms des chefs lieux provisoires des nouvelles régions ont été dévoilés : Bordeaux, Dijon, Lille, Lyon, Rouen et Toulouse.
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Le gouvernement privilégie une organisation multi-sites des services régionaux de l’État, permettant de conserver des pôles des directions régionales dans les anciens chefs-lieux de région, assortie d’un processus de spécialisation. Telles sont les informations communiquées le 9 juillet 2015 à l’occasion d’un Conseil national des services publics et d’un comité technique des DDI (directions départementales interministérielles) lors de points consacrés à l’organisation régionale de l’État. Lors du CT des DDI, le secrétaire général du gouvernement et le coordonnateur national de la réforme territoriale ont indiqué que les pistes de la création d’un regroupement des fonctions support auprès des secrétaires généraux aux affaires régionales et d’un secrétariat général commun entre préfectures et DDI, figurant dans certains diagnostics territoriaux, ont été écartées.