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"Les modalités de déroulement d’une période d’expérience personnelle dite de 'césure'" dans les établissements d’enseignement supérieur sont énoncées dans une circulaire publiée au BO du 23 juillet 2015 (1). Sa publication avait été annoncée par François Hollande le 6 mai dernier, lors du colloque sur les politiques publiques en faveur des jeunes organisé au Cese (lire sur AEF). Elle indique notamment que l’obtention d’ECTS "sera liée à un dispositif de tutorat, d’accompagnement et de validation de la période de césure". "Un bilan de compétences" pourra par ailleurs être établi par l’établissement. En outre, "le droit à bourse peut être maintenu sur décision de l’établissement", qui "sera prise en fonction de la relation entre la thématique de la césure et la formation dispensée au sein de l’établissement".
La CPU, l’Unef, la Fage et Sup’Recherche-Unsa réagissent à l’annonce d’une circulaire "dès cet été", "pour que l’année de césure soit introduite dans le système universitaire français à la rentrée prochaine". Cette mesure a été présentée par le président de la République François Hollande, à l’occasion du colloque sur les politiques publiques en faveur des jeunes organisé au Cese le 6 mai 2015 (lire sur AEF). La CPU est "favorable au dispositif de la césure" mais souhaite des clarifications quant à sa mise en œuvre dans les universités. Les organisations étudiantes, la Fage et l’Unef, soutiennent l’année de césure et demandent, entre autres, "une reconnaissance" dans le cursus des compétences acquises pendant cette année. Enfin, Sup’Recherche-Unsa "approuve" l’année de césure "sur le principe" mais attend que les modalités soient explicitées dans la circulaire.