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Frédéric Fotiadu, directeur de Centrale Marseille, argumente en faveur d'un relèvement des droits d’inscription dans les écoles d’ingénieurs publiques relevant du MENESR. "Je prône une convergence vers des droits [d’inscription] déjà appliqués ailleurs qui restent malgré tout une contribution modeste des élèves non boursiers à une formation qui coûte plus cher que les droits perçus", explique-t-il à AEF, le 25 juin 2015. Selon lui, "il y a urgence" : "Les écoles s’en sortent encore parce qu’elles sont bien gérées et qu’elles investissent beaucoup et à bon escient, mais cela risque de ne pas durer", prévient-il. Dans cet entretien, Frédéric Fotiadu tire aussi le bilan du chemin parcouru et fait le point sur les projets de Centrale Marseille, qui s’apprête à fêter ses dix ans sous ce label, avec une inscription réussie dans la politique de site, estime son directeur.
« Nous allons inciter nos équipes de recherche à confier davantage la gestion de leurs projets de recherche partenariale à Centrale Innovation », indique à AEF Dominique Henriet, directeur adjoint de l'École centrale Marseille, qui organise une journée de présentation de Centrale Innovation, mercredi 5 octobre 2011. Centrale Marseille est entrée en janvier 2011 dans le capital de cette filiale de valorisation commune aux écoles centrales de Lyon et de Nantes (AEF n°297788). « Aujourd'hui, moins d'un million d'euros de contrats de recherche partenariale sont gérés par Centrale Innovation. Nous espérons dépasser ce seuil d'ici un an ou deux », précise Dominique Henriet.
Intégrer leurs compétences respectives dans les cursus proposés par les deux écoles et créer de nouvelles formations de type mastère spécialisé et MBA : tels sont les principaux objectifs de la convention-cadre signée lundi 25 octobre 2010 par l'École centrale de Marseille et l'IAE d'Aix-en-Provence (composante de l'université Paul-Cézanne, Aix-Marseille-III). Avec cette « alliance stratégique », qui leur permettra d'enrichir mutuellement leurs offres de formation, les deux établissements veulent « poser les fondements d'un pôle scientifique et managérial » sur le site d'Aix-Marseille, indiquent-ils.
La nomination du nouveau directeur de l'École centrale de Marseille, après le départ de Didier Marquis le 30 juin 2009 pour prendre la direction de l'Insa Toulouse (AEF n°292701), est « espérée pour le 1er novembre », indique à AEF Thierry Gaidon, directeur adjoint de l'établissement et administrateur provisoire. « Un peu plus de dix candidatures », closes à mi-juillet 2009, vont être examinées par le conseil d'administration, qui fera une proposition à Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. « D'ici là, en accord avec le recteur, ma mission consiste à gérer l'intérim dans la continuité de Didier Marquis qui avait initié de nombreux dossiers », indique Thierry Gaidon.