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Le très attendu décret relatif à la qualité des actions de la formation professionnelle continue devrait être publié d’ici une quinzaine de jours, après avoir franchi l’étape du Conseil d’État le 23 juin 2015. Il s’agit d’une des dernières briques de la réforme de la formation précisée avec ce texte qui va impacter bon nombre d’acteurs, des Opca aux organismes de formation. Dans sa nouvelle chronique publiée par AEF, Jean-Marie Luttringer livre son analyse sur les impacts que le nouveau positionnement de ce sujet de la qualité dans le champ de la formation va avoir sur les acteurs. En effet, si cette question de la qualité n’est pas nouvelle dans le champ de la formation, son inscription dans la loi, bien que constituant indéniablement "une voie de progrès", ne va pas sans poser une multitude de questions et repose sur une "ambiguïté".
"Il ne faut pas attendre le décret [sur la qualité des actions de la formation professionnelle] comme étant l’alpha et l’omega d’une politique qualité. Cette politique est celle des entreprises, des acteurs", affirme Stéphane Rémy, chef de la mission "organisation des contrôles" de la DGEFP, vendredi 20 mars 2015. Le texte, qui découle de la loi du 5 mars 2014, a été présenté au Cnefop le 10 février 2015 (lire sur AEF)."Le décret est d’abord une obligation des financeurs, même si on peut comprendre les inquiétudes des organismes de formation car il est question de la capacité des prestataires", précise-t-il, au cours des rencontres professionnelles de la fédération des chambres syndicales des formateurs-consultants.