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Nommée directrice générale d’Agronov fin 2014, Géraldine Harly réunit autour d’elle "un cercle de réflexion", qui a arrêté en mars 2015 un plan d’action pour faire de cette plate-forme "le centre d’expertise français de l’agroécologie". "La désignation de l’Inra Dijon, par le ministère de l'Agriculture, comme tête de réseau de l’agroécologie en France", fonde l’ambition des partenaires d’Agronov, explique-t-elle à AEF le 17 juin 2015, à l’issue de la réunion de ce cercle de réflexion. Agronov capitalise sur des "expertises reconnues internationalement" (la microbiologie du sol par exemple). Ce projet s’inscrit dans l’un des trois axes stratégiques la candidature de l’université de Bourgogne Franche-Comté à l’isite. Il vient également en appui de la Satt Grand-Est qui pourrait confier à ce centre d’expertise la valorisation des brevets dans le domaine de l’agroécologie.
Doter ses laboratoires de recherche de deux plates-formes, l'une technologique, l'autre expérimentale : c'est le projet que défend Patrick Étiévant, président du centre Inra de Dijon auprès de la direction générale de l'institut de recherche, dans le cadre de la préparation du prochain contrat de projets État-Région (2014-2020). L'investissement nécessaire s'élève à 14 millions d'euros, précise-t-il à AEF début septembre 2013. Il annonce par ailleurs que l'Inra et l'université de Bourgogne vont signer « dans les jours qui viennent » une convention visant à constituer d'ici à un an une société commune de prestations de services, Génobiome, qui s'appuiera sur la plate-forme Génosol de l'Inra, spécialisée en génétique des sols.
L'UB (université de Bourgogne) et sa filiale de valorisation de la recherche Welience inaugurent lundi 11 octobre 2010, à Dijon, une nouvelle aile de 1 000 mètres carrés qui double la surface dédiée au transfert de technologie au profit de l'industrie agro-alimentaire et de la bio-industrie. L'investissement, porté par le conseil régional, s'élève à deux millions d'euros. Il permet à Welience de déployer de nouveaux équipements pour poursuivre des travaux menés depuis 2007 avec le pôle de compétitivité Vitagora. Il lui permet également de renforcer son niveau d'activité alors que l'université travaille à la constitution d'une Satt (société d'accélération du transfert de technologie), en lien avec les universités de Franche-Comté, de Lorraine et de Champagne-Ardenne.