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La Conférence des CPGE souhaite que tout lycée à CPGE soit partenaire avec l’EPCSCP "de son choix" relevant de son académie, dans un courrier adressé à Simone Bonnafous mi-mars 2015. Lors du dernier comité de suivi des classes préparatoires, la Dgesip a assuré que les recteurs seraient chargés de faire respecter cette demande, explique à AEF Sylvie Bonnet, présidente de la Conférence et de l’UPS. Le ministère aurait également confirmé que la reconnaissance des ECTS pour les étudiants de prépa intégrant l’université doit se faire en bloc, soit 60 ECTS par année. La signature de convention avec une Comue est possible, et pour l’APLCPGE elle est même souhaitable, car elle élargit la "palette de formations" proposée aux étudiants. La CPU et les représentants des classes préparatoires ne parviennent pas à se mettre d’accord sur le montant des droits à reverser aux établissements scolaires.
"Si cela provoque des crispations, que ce n’est pas pour l’intérêt des élèves, je demande aux collègues de ne pas voter en CA du lycée la convention" prévue entre l’EPLE et l’EPCSCP, indique Hervé Riou, président de l’Upsti
Le MENESR "va relancer les recteurs" pour que les nouvelles conventions entre lycées à filières postbac et EPCSCP (prévues par la loi ESR), et le principe de double inscription des étudiants en prépa avec l’établissement d’enseignement supérieur de l’académie soient mis en œuvre "à partir de la rentrée 2015", indique le cabinet à AEF le 23 octobre 2014. Une réunion avec la Dgesip, le cabinet de la ministre, des représentants de la CPU et trois syndicats de chefs d’établissements (SNPDEN-Unsa, ID-FO, Sgen-CFDT) a eu lieu le 21 octobre. Les syndicats ont fait valoir que le calendrier prévu par la Dgesco et la Dgesip était "extravagant" : la signature des conventions était attendue initialement pour décembre 2014 et la double inscription des étudiants pour janvier 2015. Les chefs d’établissement demandent à percevoir une partie des frais d’inscription. La CPU propose un taux minimum de 5 %.
Après la présentation du projet de loi "plein emploi" au conseil des ministres le 7 juin, le dossier législatif du texte est mis en ligne, avec l’étude d’impact et l’avis du Conseil d’État. Le projet de loi prévoit que le gouvernement détermine une stratégie nationale de l’accueil du jeune enfant et des objectifs nationaux en matière de formation professionnelle. Il conforte le rôle des communes en leur confiant la qualité d’autorité organisatrice de l’accueil du jeune enfant, avec un socle de compétences renforcé - dont une partie, concernant notamment le recensement de l’offre et l’information des parents, est obligatoire y compris pour les plus petites communes.