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"Les STS (sections de techniciens supérieurs) sont choisies en premier vœu à 82 % par les candidats à un baccalauréat professionnel" à l’issue de la première phase d’APB, fait savoir le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, jeudi 26 mars 2015 (1). "Le choix d’un IUT parmi les candidats à un baccalauréat technologique augmente de +2 %", ajoute le ministère sans préciser l’ordre des vœux. Par ailleurs, "l’attractivité des filières universitaires se confirme : +19,7 % par rapport à 2013 et +6,5 % par rapport à 2014" et les quatre mentions de 1re année de licence les plus demandées "restent stables". L’augmentation des inscriptions globales sur APB se poursuit : "+20,6 % en 5 ans et +3,3 % par rapport à 2014".
Lors de sa campagne 2014, APB a enregistré 795 760 inscriptions sur sa plateforme, dont 100 000 candidats à une réorientation en licence, indique Bernard Koehret, responsable de la maîtrise d’œuvre du site APB, lors d’une rencontre avec l’Association des journalistes éducation le 14 janvier 2015 à Paris. Sur ces 100 000 candidats, 80 000 ont reçu une proposition de réorientation, acceptée par environ 30 000 d’entre eux. Sont exclus du processus les titulaires d’un bac qui n’ont jamais été inscrits dans l’enseignement supérieur (préparation privée à des concours, années "0", CPES…). Pour la première fois en 2015, le nombre de places proposé dans les licences à capacité limitée est affiché, ainsi que le nombre de candidats de l’année précédente. Par ailleurs, le calendrier de la procédure pour les élèves de terminale est modifié et quelques formations inscrites au RNCP sont référencées.
En 2014, 47 % des jeunes choisissent l’université (licences et IUT) en premier vœu sur APB (admission post-bac), indique Geneviève Fioraso, secrétaire d’État en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, dans un premier bilan des vœux publié vendredi 2 mai 2014. Un chiffre à comparer aux 63 % d’étudiants qu’accueille in fine l’université. Ils sont 34 % à choisir les STS et 7,9 % à vouloir aller en CPGE. Les candidats ont encore jusqu’au 10 juin pour modifier le classement de leurs vœux, ce qui signifie que ces données sont susceptibles d’évoluer.
L'université offre cette année sur APB 277 735 places en licences, CUPGE ou Deust, alors que seulement 226 915 bacheliers ont demandé en premier voeu à intégrer ces formations, selon les premières données du MESR (1). Autrement dit, environ 50 000 jeunes pourraient potentiellement arriver dans ces formations, sans les avoir choisies comme premier vœu. À l'inverse, en DUT et STS, la demande des bacheliers (voeu 1) est très supérieure à l'offre faite par ces formations (propositions d'admission). Globalement en 2013, sur les 667 294 candidats validé au moins un vœu, « 538 363 ont reçu une proposition d'admission ».
« Les premiers résultats d'APB 2013, relativement stables, montrent que nous avons raison de mettre l'accent, dans le projet de loi, sur la réussite en licence », affirme Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, lundi 10 juin 2013, lors d'un point presse sur le dispositif Admission post-bac. Elle rappelle qu'après le bac, 50 % des étudiants sont en première année de licence alors que seulement 34 % en font le voeu sur APB : « Cela montre un vrai problème d'attractivité du premier cycle universitaire. » À cette occasion, elle revient sur les chiffres 2013 d'APB et les modifications à venir, sur les dispositions du projet de loi concernant l'orientation des bacheliers technologiques et professionnels et les résultats de la lettre adressée aux recteurs à la dernière rentrée, ainsi que sur l'introduction d'un droit d'accès aux filières sélectives pour les meilleurs bacheliers de chaque lycée.
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.