En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Pascal Lafon, ancien DRH des boulangeries Paul, a rejoint La Redoute en tant que DRH fin 2014. Il était depuis 2011 directeur associé du cabinet de recrutement lillois Palmer International.
La direction de La Redoute se félicite, dans un communiqué publié dans la soirée du lundi 24 mars 2014, de la signature par les syndicats CFDT et CFE-CGC d’un accord sur l’accompagnement social la suppression de 1 200 postes. Désormais majoritaire, cet accord encourage les préretraites et les départs volontaires. Les repreneurs de l’enseigne de vente à distance avaient fait de son approbation par les organisations syndicales une condition de leur engagement. Leur objectif est de "limiter au plus strict minimum les départs contraints à l’horizon 2017".
La CFDT a décidé lundi 24 mars 2014 de signer un accord prévoyant la suppression de 1 200 postes à La Redoute, afin de permettre la reprise de l'entreprise par deux de ses cadres dirigeants. "Nous avons voté ce matin à contre-cœur pour la signature", indique Jean-Claude Blanquart, délégué syndical central, lors d'une conférence de presse à Lille. "La section s'est battue à fond et a donné le maximum [pour améliorer le contenu de l'accord] mais à un moment, il faut accepter qu'on était au bout", ajoute-t-il. La Redoute risquait le dépôt de bilan, ses repreneurs ayant menacé vendredi de retirer leur offre en cas d'échec de l'accord.
La CGT, la CFDT et SUD ont refusé vendredi 21 mars 2014 de signer un accord prévoyant la suppression de 1 200 postes à La Redoute, après la cession de l'entreprise à deux cadres dirigeants. Seule la CFE-CFGC, minoritaire, a ratifié ce texte qui prévoit d'encourager les préretraites et les départs volontaires. "La situation est grave", commente la direction de l'enseigne de vente à distance, après avoir informé le tribunal de commerce de Lille "des difficultés financières auxquelles est confrontée l'entreprise". De son côté, la CFDT veut prendre "le temps de la réflexion" pendant le week-end, estimant que "la situation a évolué" depuis le vote de ses adhérents, qui lui demandaient hier soir de ne pas signer l'accord.