Continuer sans accepter

Bonjour et bienvenue sur le site d’AEF info
Vos préférences en matière de cookies

En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.

Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :

  • Mesurer et améliorer la performance du site
  • Adapter la publicité du site à vos centres d'intérêt
  • Partager sur les réseaux sociaux
En savoir plus sur notre politique de protection des données personnelles

Vous pourrez retirer votre consentement à tout moment dans votre espace « Gérer mes cookies ».

Un promoteur ne commet pas d'abus en attaquant lourdement des particuliers qui font un recours abusif (C.Cass)

Un promoteur immobilier ne commet pas d’abus en attaquant des particuliers qui avaient saisi le juge en annulation du permis de construire et en exigeant "plusieurs millions d’euros", car ces particuliers avaient agi en justice "à seule fin de lui nuire". La Cour de cassation, dans un arrêt rendu le 5 mars 2015, confirme ainsi la décision de la cour d’appel d’Aix-en-Provence, rendue en octobre 2013, qui stipulait déjà que le promoteur avait droit de riposte. Si elle juge "indéniable que le montant particulièrement élevé des dommages-intérêts réclamés [par la société] était de nature à déstabiliser les [particuliers], voire à faire pression sur eux", la Cour ne retient pas "sa faute", estimant que "la société pouvait légitimement considérer que les recours en annulation dirigés contre son permis de construire ne reposaient sur aucun moyen sérieux".

Cette dépêche est réservée aux abonnés
Il vous reste 80 % de cette dépêche à découvrir.

  • Retrouver l’intégralité de cette dépêche et tous les contenus de la même thématique
  • Toute l’actualité stratégique décryptée par nos journalistes experts
  • Information fiable, neutre et réactive
  • Réception par email personnalisable
TESTER GRATUITEMENT PENDANT 1 MOIS
Test gratuit et sans engagement
Déjà abonné(e) ? Je me connecte
  • Thématiques
  • Coordonnées
  • Création du compte

Thématiques

Vous demandez à tester la ou les thématiques suivantes*

sur5 thématiques maximum

1 choix minimum obligatoire
  • Habitat / Urbanisme
  • 👁 voir plus
    ✖ voir moins

Fréquence de réception des emails*

Un choix minimum et plusieurs sélections possibles. Vous pourrez modifier ce paramétrage une fois votre compte créé

Un choix minimum obligatoire

* Champs obligatoires

Coordonnées

Renseignez vos coordonnées*

Veuillez remplir tous les champs
Votre numéro de téléphone n'est pas valide

* Champs obligatoires

Création de compte

Tous les champs sont obligatoires
Votre adresse e-mail n'est pas valide
Seulement les adresses e-mails professionnelles sont acceptées

Cette adresse vous servira de login pour vous connecter à votre compte AEF info

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont au moins 1 chiffre
Ces mots de passe ne correspondent pas. Veuillez réessayer

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont 1 chiffre

En validant votre inscription, vous confirmez avoir lu et vous acceptez nos Conditions d’utilisation, la Licence utilisateur et notre Politique de confidentialité

* Champs obligatoires

Valider

Merci !

Nous vous remercions pour cette demande de test.

Votre demande a été enregistrée avec l’adresse mail :

Nous allons rapidement revenir vers vous pour vous prévenir de l’activation de votre nouvel accès.

L’équipe AEF info


Une erreur est survenue !

Une erreur est survenue lors de l'envoi du formulaire. Toutes nos excuses. Si le problème persiste, vous pouvez nous contacter par téléphone ou par email :
 service.clients@aefinfo.fr  01 83 97 46 50 Se connecter

à lire aussi
Même "graves", des faits isolés de destruction de biens n'entraînent pas forcément résiliation du bail (C.de cassation)

Dans un arrêt du 10 février 2015, la Cour de cassation rejette la demande du Logement francilien de résilier le bail de locataires dont l'enfant avait incendié, en 2004, plusieurs loges de gardiens et le véhicule de l'un d'eux. Pour cet acte, le jeune homme avait été condamné définitivement, par le tribunal pour enfants de Versailles (Yvelines), en 2010, à 6 mois d'emprisonnement avec exécution provisoire pour "destruction du bien d'autrui par un moyen dangereux pour les personnes". Si la "violation grave de l'obligation de jouissance paisible est établie", "les faits sont demeurés isolés" et sont anciens, fait valoir la Cour de cassation, confirmant ainsi une décision de la cour d'appel de Versailles d'avril 2013.

Lire la suiteLire la suite
Samaritaine : annulation confirmée du permis de construire ; Paris va se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État

La cour administrative d’appel de Paris, réunie en formation plénière, confirme dans un arrêt du 5 janvier 2015, la décision rendue le 13 mai dernier par le tribunal administratif de Paris d’annuler le permis de construire autorisant la restructuration de l’ensemble de bâtiments dit "îlot Rivoli" du site de la Samaritaine (Ier arrondissement). Un jugement dont "prend acte" la Ville qui rappelle que dans un premier temps, la cour avait autorisé la reprise du chantier. Maintenant "sa position en faveur du projet", Paris annonce vouloir déposer "prochainement un pourvoi en cassation devant le Conseil d’État, afin que les travaux puissent arriver à leur terme".


Lire la suiteLire la suite
L'ordonnance sur les recours malveillants contre les projets de construction présentée en Conseil des ministres

Cécile Duflot, ministre de l'Égalité des territoires et du Logement, a présenté mercredi 17 juillet 2013 en conseil des ministres, l'ordonnance « relative au contentieux de l'urbanisme » prévue par la loi « habilitant le gouvernement à adopter des mesures de nature législative pour accélérer les projets de construction » (AEF Habitat et Urbanisme n°186436) (1). Le texte précise l'intérêt à agir des requérants, ouvre la possibilité de condamner ces derniers à verser des dommages et intérêts en cas de recours malveillant, encadre les transactions versées en l'échange d'un retrait du requérant et autorise la régularisation d'un permis de construire en cours d'instance. Il entrera en vigueur un mois après sa publication, et sera applicable aux procédures en cours.

Lire la suiteLire la suite