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"En 2017, 95 % du PIA aura été consommé et la source sera tarie. Je suis donc favorable à la mise en place d’un PIA 3 et une enveloppe de 10 milliards d’euros ne me paraît pas déraisonnable même si ce n’est qu’un ordre de grandeur", déclare Louis Schweitzer, commissaire général à l’investissement, lundi 9 mars 2015. Il s’exprime lors d’un point presse faisant suite à la publication du rapport d’activité 2014 du CGI (lire sur AEF). Il confirme par ailleurs que le comité de surveillance du PIA "se dit favorable à l’idée du PIA 3" et précise qu’il faudrait le "proposer et le faire voter courant 2016 pour qu’il soit opérationnel en 2017". Louis Schweitzer revient sur le concours mondial d’innovation, "symbole à ses yeux de ce que le PIA peut faire" et évoque l’articulation du PIA avec le Plan Juncker. Enfin, il indique qu’il n’y aura sans doute pas de nouvelles idex dans un éventuel PIA 3.
"Sur les 35 milliards d’euros du premier programme d’investissements d’avenir, 29 milliards sont d’ores et déjà engagés. Sur le second programme de 12 milliards, 10,5 restent à engager", écrit Louis Schweitzer, commissaire général à l’investissement, en préambule du rapport du CGI intitulé "situation et perspectives 2014", qu’AEF s’est procuré lundi 1er septembre 2014. Il est précisé que "dans le respect de la trajectoire de finances publiques, le nouveau programme vise à atteindre les objectifs principaux que sont le rétablissement de la compétitivité et la transition écologique sur l’ensemble des territoires". Par conséquent, "seule une minorité des crédits alloués (moins d’un tiers) seront versés sous forme de subventions", le reste prenant la forme de prêts, de prises de participations, d’avances remboursables et de dotations non consommables.
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault annonce sa décision « de redéployer 2,2 milliards d'euros, qui sont disponibles au programme des investissements d'avenir, vers les secteurs de demain », lundi 21 janvier 2013, à l'occasion d'un déplacement à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), « après avoir consulté Louis Gallois, le commissaire général à l'investissement ». Dans le détail, les services du Premier ministre précisent que « les principaux axes de cette réorientation concernent le développement et la diffusion des technologies dites 'génériques' (dont le numérique) pour 600 millions d'euros, le soutien à l'innovation de rupture et à la l'industrialisation des produits innovants pour 250 millions d'euros, l'accompagnement des PME des filières émergentes, notamment en capital-risque, pour près de 600 millions d'euros, et le lancement de nouveaux appels à projets en matière de transition énergétique pour 300 millions d'euros ».