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"J’appelle les régions à saisir l’opportunité de la création des Comue : elles sont leurs interlocuteurs naturels", déclare Khaled Bouabdallah, vice-président de la CPU, à AEF début mars 2015. Ces relations sont "incontournables" car "la multitude de schémas et programmes qui ont un lien direct ou indirect avec l’université […] nécessite une approche territoriale globale des politiques d’ESR que seules les Comue peuvent apporter". S’il est "trop tôt pour tirer un bilan des Comue", il constate, interrogé notamment sur la faible place qu’y occupent les écoles de commerce, que "là où elles ont construit une légitimité par la qualité de leur recherche et de leurs formations, elles sont intégrées". Dans cet entretien, il tire aussi le bilan de la loi Notre et de la nouvelle carte des régions et fait remarquer que les collectivités du bloc local sont des "interlocuteurs de premier plan".
La CPU estime que l’amendement à la loi Notre donnant à la région un pouvoir d’approbation de la carte des formations d’enseignement supérieur et de recherche (lire sur AEF) est "inacceptable en ce qu’il contrevient au principe d’autonomie des universités pourtant entériné par la Loi ESR du 22 juillet 2013". Il attribue "un pouvoir discrétionnaire aux régions de rejeter une carte des formations", selon la CPU qui demande au gouvernement "de tout mettre en œuvre pour que cette disposition soit retirée du projet de loi lors de son examen devant l’Assemblée nationale", dans un communiqué daté du 23 janvier 2015. Réagissant également sur ce sujet, la Fage dénonce ce qu’elle appelle un "droit de veto" des régions, estimant que leur avis "deviendrait décisionnaire et non plus consultatif, reléguant l’État à un rôle d’observateur" et pointant le risque "d’initiatives de court terme".
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.