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"En 2013, 8,4 % des demandeurs d’emploi inscrits en catégories A, B, C sont sortis chaque mois de ces catégories, quel qu’en soit le motif", indique la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques), dans une analyse publiée jeudi 26 février 2015. "Le taux de sortie pour reprise d’emploi atteint 3,9 % en moyenne en 2013. Il poursuit la baisse amorcée en 2012 (-0,4 point entre 2012 et 2013), après avoir été stable entre 2009 et 2011 autour de 4,7 %", précise-t-elle. "Les reprises d’emploi représentent 44,6 % des sorties de catégories A, B, C et les entrées en formation 11,3 %." Ceux qui ont retrouvé un emploi ont fait appel à leurs relations (31 %) ou à une candidature spontanée (25 %).
La dépense de formation et d’apprentissage destinée aux jeunes est en baisse (-4,3 %), en 2012, constate une publication de la Dares, datée de février 2015. En revanche, la dépense consacrée aux demandeurs d’emploi et aux actifs occupés du secteur privé progresse ainsi que celle destinée aux agents de la fonction publique. La direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques publie une note sur la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage, en 2012. Cette dépense s’est élevée à 32 milliards d’euros, en légère diminution (-0,1 %). Les entreprises restent le principal financeur tandis que les régions reprennent la deuxième place, devant l’État.
Mettre en œuvre les "premières réalisations du projet stratégique", piloter par les résultats, préparer les évolutions "concernant le parcours du demandeur d’emploi" prévues pour "début 2016", se doter d'"une vision cible complète et opérationnelle" et innover. Tels sont les objectifs de Pôle emploi pour l’année 2015, inscrits dans le projet de feuille de route annuelle qui doit être présenté lors du CCE de l’opérateur, le 12 février 2015. Avec cette feuille de route 2015, Pôle emploi détaille ainsi les premiers éléments de mise en œuvre des objectifs fixés dans le cadre de la convention tripartite signée entre l’État, l’Unédic et Pôle emploi et dans le projet stratégique de l’opérateur.
Le CDI, qui reste "la forme normale, et largement dominante, de la relation de travail entre un employeur et un salarié", n’est "pas forcément synonyme de stabilité de la relation d’emploi". En particulier, "dans les douze premiers mois d’un CDI, le risque de rupture est relativement élevé : 36,1 % des CDI conclus en 2011 ont été rompus avant leur premier anniversaire". C’est le constat que dresse la Dares dans une étude publiée vendredi 23 janvier 2015. "Le premier motif de rupture d’un CDI dans sa première année est la démission" (16,1 %), suivi de la fin de période d’essai (12,7 %), du licenciement pour motif autre qu’économique (3,3 %), de la rupture conventionnelle (1,3 %) et du licenciement économique (0,4 %). Cependant, "si l’on considère l’ensemble des CDI en cours, ils apparaissent très stables à un horizon d’un an".