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La Fabrique écologique entend "faire passer quelques messages forts" à travers sa note intitulée "La résistance française à l'écologie: l'écologie peut-elle transformer positivement le modèle français?", présentée lundi 9 février 2015 lors d'un atelier co-écologique organisé à l'Assemblée nationale. Le premier est qu'il ne faut pas "contourner l'obstacle" en espérant que la mise en place de stratégies écologiques locales sera suffisante, le second est que "l'écologie est un atout majeur pour transformer le modèle français", explique le président du think tank Géraud Guibert. La présidente du groupe de travail Lucile Schmid insiste pour sa part sur la difficulté à rassembler "toutes les pièces du puzzle" qui vont des "stratégies des grandes entreprises", aux "Amap" en passant par les "écologistes politiques"...
"On a des champions mondiaux, et pourtant la France n’est pas la championne mondiale de la transition énergétique. Un maillon manque : celui des ETI qui ont un rôle essentiel dans l’écosystème. Elles sont suffisamment grandes pour être solides et crédibles, mais assez petites pour rester agiles et proches des problèmes", souligne Frédéric Utzmann, président de CertiNergy et du collectif d’éco-entrepreneurs France Ecotech, mardi 2 décembre 2014. Le groupe de travail qu’il a mené, au sein du think tank La Fabrique écologique, publie une note dédiée. Trois leviers "simples et peu coûteux" sont identifiés pour y remédier : agir sur la commande publique, à travers une mission d’appui et un mécanisme de garantie financière ; agir sur le risque réglementaire en favorisant une "prise de conscience" des pouvoirs publics ; et enfin, créer un "fast track" ou "billet coupe-file" pour les ETI vertes.
La Fabrique écologique propose trois leviers pour développer l’économie collaborative, dans une note présentée mardi 4 novembre 2014 lors d’un "atelier co-écologique" (1). Pas tant pour sa "promesse environnementale" - "le bilan environnemental de ces pratiques est moins évident qu’il n’y paraît"- mais comme "outil de redynamisation des territoires" et comme un moyen de renforcer le "lien social".
La Fabrique écologique a présenté, mercredi 1er octobre 2014, une "note ouverte au débat collaboratif" jusqu'à la fin décembre 2014, sur "les leviers économiques de la transition agroécologique". Elle y détaille que "l'agroécologie ne peut être abordée uniquement à l’échelle du maillon 'agricole', son développement devant être envisagé à l’échelle de tout le secteur agroalimentaire". Le think tank ajoute que le secteur agro-industriel connaît "des difficultés préoccupantes, qui rendent d'autant plus indispensable l'utilisation du levier économique de l'agroécologie", qui permettrait de "réduire les coûts de production", ainsi qu'"une montée en gamme des produits". La note formule ainsi deux propositions : "inciter les filières à enrichir leur gamme avec des produits issus de l’agroécologie" et "généraliser, grâce à un dispositif incitatif, les contrats de filières agroécologiques".
La Fabrique écologique rend publique, jeudi 24 juillet 2014, une note d’analyse portant sur les grandes lignes du projet de loi de transition énergétique qui sera présenté le 30 juillet en conseil des ministres. Selon les deux pilotes du groupe de travail à l’origine de cette note, Géraud Guibert, président du think tank, et l’avocat Arnaud Gossement, le texte présente "des points positifs mais reste au milieu du gué". Ils s’inquiètent notamment d’une "approche carbo-centrée" mais aussi de la validité juridique et constitutionnelle du procédé de plafonnement de la capacité nucléaire. Ils appellent à faire évoluer le texte au Parlement, notamment sur la gouvernance, la décentralisation énergétique et sur la reconnaissance des enjeux de précarité énergétique.