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L’université Paris-Sud annonce, le 30 janvier 2015, avoir lancé un appel public à concurrence pour le projet "biologie - pharmacie - chimie", qui englobe la faculté de pharmacie de Châtenay-Malabry, l’Institut de chimie moléculaire et des matériaux d’Orsay, l’Institut diversité écologie et évolution du vivant et un pôle d’enseignement, et qui doit s’installer en 2020 sur le plateau de Saclay. L’université souligne qu’il s’agit là "de l’un des plus importants chantiers universitaires de France". Par ailleurs, AgroParisTech avance elle aussi sur le plan immobilier : elle vient d’attribuer la mission de conduite d’opération renforcée et d’assistance technique relative à l’opération de construction de son futur bâtiment à un groupement composé de l’Epaurif, de l’EPPS et de trois bureaux d’études (1), indique l’EPPS le 4 février.
« Je peux annoncer aujourd'hui que les hypothèques pesant sur trois opérations parmi les plus importantes sont désormais levées. Il s'agit de l'installation sur le plateau [de Saclay] de l'École centrale, d'AgroParisTech et de l'Institut Mines-Télécom », annonce Jean-Marc Ayrault le 10 octobre 2013, lors d'un déplacement sur le plateau de Saclay. « Ces opérations ont été jusqu'ici retardées par des incertitudes sur leurs plans de financement, mais j'ai décidé que le PIA consacré à Saclay assurerait dans son intégralité les risques liés aux cessions foncières qui conditionnent les plans de financement. J'ai également décidé que ce même programme couvrirait 50 % des risques liés aux projets eux-mêmes hors cessions, le risque restant étant garanti par les trois ministères de tutelle. » Le Premier ministre annonce aussi le lancement de la Satt de Saclay, dotée de 66 M€, et d'un nouvel IEED, doté de 19 M€ (AEF n°461182).