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"Il est vital d'accompagner les jeunes à décrypter une information désormais pléthorique sur l’orientation, ce qui passe par une formation accrue des acteurs de 'proximité' ", indique à AEF Anne Aubert, VP en charge de l’orientation, de la réussite et de l’insertion professionnelle à l’université de La Rochelle. Elle dresse le bilan de plusieurs dispositifs mis en place par cette université pour l’orientation, les partenariats, la réussite - dont celui des "parcours adaptés". Les petites universités doivent être actives et innovantes, estime-t-elle. Par ailleurs, Anne Aubert vient de démissionner de la présidence de la Courroie en raison de sa nomination comme chef de projet pour le développement de la FTLV dans l’enseignement supérieur (lire sur AEF).
Les universités de Clermont-Ferrand-I, Angers et La Rochelle ont, en 2011, les plus fortes "valeurs ajoutées" en matière de réussite en licence, en trois ans, des étudiants n’ayant pas changé d’établissement pendant leur cursus
L'université de La Rochelle propose à ses étudiants de première année de licence quatre parcours adaptés, choisis en fonction de leurs aptitudes et de leur projet, identifiés à l'issue d'un sas d'intégration de cinq semaines et de tests de positionnement. « Il ne s'agit pas de les classer mais de leur montrer à quel niveau ils se situent par rapport aux attentes de l'université et à les aider à réussir », précise Anne Aubert, vice-présidente insertion à AEF le 20 août 2013. Ce dispositif, qui se décline en quatre parcours (de réorientation, renforcé, classique et d'excellence), est testé à la rentrée 2013, uniquement en sciences, technologies et santé, un domaine qui accueille 400 à 420 étudiants en L1. Il pourra ensuite se généraliser si les résultats obtenus au bout d'un an prouvent sa pertinence et si les étudiants s'en saisissent, ce qui reste « la grande inconnue », estime Anne Aubert.