En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le CDI, qui reste "la forme normale, et largement dominante, de la relation de travail entre un employeur et un salarié", n’est "pas forcément synonyme de stabilité de la relation d’emploi". En particulier, "dans les douze premiers mois d’un CDI, le risque de rupture est relativement élevé : 36,1 % des CDI conclus en 2011 ont été rompus avant leur premier anniversaire". C’est le constat que dresse la Dares dans une étude publiée vendredi 23 janvier 2015. "Le premier motif de rupture d’un CDI dans sa première année est la démission" (16,1 %), suivi de la fin de période d’essai (12,7 %), du licenciement pour motif autre qu’économique (3,3 %), de la rupture conventionnelle (1,3 %) et du licenciement économique (0,4 %). Cependant, "si l’on considère l’ensemble des CDI en cours, ils apparaissent très stables à un horizon d’un an".