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"Les agglomérations de province économiquement les plus dynamiques (Lyon, Toulouse, Bordeaux) qui ne subissaient jusqu’alors qu’une baisse des volumes de transactions, amorcent à leur tour une baisse des prix" : c’est un des enseignements de la dernière note de conjoncture immobilière pour le troisième trimestre 2014, publiée par les notaires de France jeudi 22 janvier 2015. Globalement, selon l’indice Notaires-Insee, les prix des logements anciens en France métropolitaine baissent de 0,6 % au troisième trimestre 2014 par rapport au trimestre précédent, et ils diminuent de 1,2 % par rapport au troisième trimestre de 2013. Côté volume, à fin novembre 2014, le nombre de transactions réalisées au cours des douze derniers mois écoulés est estimé à 707 000 en France métropolitaine, au même niveau qu’il y a un an.
35 450 : c’est le nombre de logements anciens vendus en Île-de-France d’août à octobre 2014, soit 5 % de plus qu’à la même période en 2013, indiquent les notaires de Paris-Île-de-France, dans leur dernière note de conjoncture publiée jeudi 18 décembre. Toutefois, "l’activité reste encore assez morose", 5 % en dessous des 37 130 ventes enregistrées en moyenne pour la période pendant les 10 dernières années. "Au total, le nombre de ventes de logements anciens en 2014 ne devrait pas dépasser celui de 2013." Les prix des logements anciens ont, de leur côté, baissé de 1,6 % sur la région d’août à octobre 2014, par rapport à la même période l’année dernière, et "ont peu évolué" en données CVS par rapport au trimestre précédent (-0,8 %). Paris "se démarque" des autres départements avec un recul de son prix au mètre carré de 1,7 % en glissement trimestriel.
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725 000 : c’est le nombre de logements vendus sur douze mois à fin septembre 2014, en "légère baisse" par rapport à fin juin (-10 000), selon l’indice Notaires-Insee des prix des logements anciens pour le troisième trimestre 2014, publié jeudi 27 novembre. Les prix sont également en repli, avec -0,4 % en glissement trimestriel (données provisoires CVS) et -1 % en glissement annuel (données provisoires brutes). Pour les notaires franciliens, qui publient aussi ce jeudi leur note de conjoncture, l’évolution annuelle des prix sur la région montre que "la tendance de fond" est à "une légère baisse des valeurs". "Dans les prochains mois, la tendance baissière est appelée à se poursuivre de manière accentuée, sans que l’on puisse savoir si le mouvement est appelé à durer", indiquent-ils.
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Le nombre de transactions de logements anciens est en hausse de 9 % en Île-de-France de juin à août 2014, par rapport à la même période l’année dernière, selon la dernière note de conjoncture des notaires franciliens, publiée mercredi 29 octobre 2014. "La fin de l’abattement exceptionnel de 25 % sur les plus-values immobilières a accéléré et concentré les ventes au mois d’août", remarquent-ils, avec une activité sur ce mois qui s’inscrit 10 % au-dessus de la moyenne des ventes enregistrées au mois d’août entre 2004 à 2013. La variation trimestrielle des prix sur cette période est stable en données CVS, et la variation annuelle fait état d’un repli de 1,3 % pour les appartements en Île-de-France, et de 1,2 % pour les maisons.
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"Dans un contexte sans perspective d’amélioration notable à court terme sur le plan économique et social" et alors qu'"aucun signe ne laisse entrevoir la possibilité d’un allégement fiscal significatif", "la lente érosion des prix ne devrait pas connaître de répit", estiment les notaires de France, dans leur note de conjoncture immobilière n°25, publiée le 21 octobre 2014. Selon l’indice Notaires-Insee, les prix des logements anciens en France ont ainsi baissé sur un an de 1,3 % au deuxième trimestre 2014, comparé à la même période l’année précédente, et "la baisse cumulée de l’indice national atteint 4,4 % depuis le point haut du troisième trimestre 2011".
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Les prix des logements anciens ont baissé de 1,4 % en un an sur la période de mai à juillet 2014, selon la note de conjoncture des notaires de Paris-Île-de-France, publiée jeudi 2 octobre 2014. Côté volume, 38 780 logements anciens ont été vendus de mai à juillet 2014 en Île-de-France, soit 3 % de plus qu’à la même période l’an dernier. Pour autant, "il manque encore environ 4 700 ventes de logements anciens (soit environ 10 %) pour retrouver le niveau d’activité constaté en moyenne de mai à juillet ces dix dernières années", selon les notaires franciliens. Pour sa part, le réseau d’agences immobilières Century 21 observe le même jour une dégradation de l’activité en Île-de-France entre le troisième trimestre 2013 et le troisième trimestre 2014, particulièrement marquée pour les appartements (-13,2 %, contre -5,2 % pour les maisons).
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