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Lamine Gharbi, président de la FHP, qui présentait ses vœux pour 2015 mercredi soir à Paris en présence notamment d’Antoine Dubout, président de la Fehap, et de Patrick Bouet, président du Cnom, a exprimé le souhait qu’au-delà des différences de statuts et des sujets de discorde, les fédérations d’établissements en arrivent à "délaisser les postures pour œuvrer toujours mieux, et plus, en faveur de l’intérêt général". Comme il l’avait déjà dit la semaine passée lors d’un débat sur le "nouveau service public hospitalier" dans le cadre du colloque Espace social européen/Nile, il réaffirme que les performances et l’équilibre de notre système de santé sont dus "à la diversité et à la complémentarité des acteurs qui le composent". "C’est le modèle de l’offre plurielle en santé qui fait la force de l’accès et de la qualité des soins", assure-t-il.
Loi d’étatisation de la santé et liberticide pour la médecine libérale et l’hospitalisation privée, loi idéologique et rétrograde, loi qui recule l’étape nécessaire de la clarification sur la gouvernance du pilotage du système de santé ? On aura tout entendu lors des trois tables rondes organisées mardi 16 décembre par la FHP dans le cadre de ses rencontres 2014 à la Cité de la mode et du design à Paris. Marisol Touraine et sa loi de santé -mal ficelée selon les uns, démodée, voire archaïque selon d'autres- n’aura trouvé au final qu’un seul défenseur en la personne du député Olivier Véran (SRC, Isère), rapporteur du projet de loi pour la commission des affaires sociales. Pour autant, et même si certains continuent d'exiger son retrait pur et simple, la plupart des acteurs se disent prêts à participer à la nouvelle concertation pourvu que le texte soit expurgé de certaines ambiguïtés.
Un arrêté du 1er août 2014, publié au Journal officiel du 26 août, fixe la liste des 95 établissements publics de santé qui devront soumettre leurs comptes à certification à compter de l’exercice budgétaire 2015. C’est la loi du 21 juillet 2009 dite HPST qui oblige les hôpitaux à faire certifier leurs comptes soit par un commissaire aux comptes, soit par la Cour des comptes au plus tard pour le premier exercice commençant quatre ans après la publication de la loi. Un décret du 23 décembre 2013 a précisé que sont soumis à certification les hôpitaux dont le total des produits du compte de résultat principal est égal ou supérieur à 100 millions d’euros pendant trois exercices consécutifs. La publication de cette liste fait réagir la FHP qui, dans un communiqué du 27 août, demande l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire sur la réalité des comptes des hôpitaux publics.
La FHP, fédération hospitalière privée, réagit vendredi 25 avril aux propositions formulées dans le rapport Devictor remis lundi dernier à Marisol Touraine qui traite du SPTS (service public territorial de santé) ainsi que du rôle du service public hospitalier dans ce service public élargi à l'ensemble des acteurs de santé d'un territoire. La FHP s'inquiète de ce que "l'accessibilité financière aux soins" devienne l'un des critères pris en compte pour qu'un établissement de santé accède au service public hospitalier. Pour la FHP, cela constitue même "un point de vigilance particulier". "Si la préoccupation peut s'entendre, elle ne doit en aucun cas constituer un processus sournois d'éviction de certaines acteurs et représenter un frein à la prise en compte sur un territoire de tous les acteurs de santé", écrit la fédération hospitalière privée.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :