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L'association le Lien, qui accompagne les patients victimes d’infections nosocomiales et s'intéresse à la sécurité des patients, intitule ses 5e États-Généraux "Année 2015. Omerta, tolérance zéro". Cette manifestation qui se déroulera le 5 février à Paris devrait être clôturée par Marisol Touraine. "Il s'agit de la seule rencontre régulière entre les pouvoirs publics, les professionnels de santé, les usagers du système de santé et la presse", observe Alain-Michel Cerreti, conseiller santé auprès du Défenseur des droits et fondateur de l'association après l'affaire de la Clinique du sport. "Omerta parce que nous souhaiterions que l'on parte d'abord et avant tout des chiffres réels. Les dernières études internationales démontrent que la mortalité réelle est bien supérieure à celle diffusée", précise celui qui estime que le nombre réel est "bien supérieur" aux 30 000 décès annuels.
Le groupe Ugecam, qui gère les 225 structures sanitaires et médico-sociales de l'assurance maladie, se félicite vendredi 3 décembre 2010 des scores obtenus par les établissements du groupe en matière de lutte contre les infections nosocomiales. Ainsi, note un communiqué, 82 % des établissements de SSR du groupe figurent en catégorie A dans les résultats du tableau de bord Icalin 2009 (1), publiés par le ministère de la Santé le 1er décembre 2010. « Sur la période allant de 2006 à 2009, le poids des établissements du groupe Ugecam qui obtiennent le score A n'a cessé de progresser, passant de 62 à 82 % », observe le groupe.
Roselyne Bachelot a promis qu'elle ne baisserait pas la garde dans la lutte contre les infections acquises dans les structures de soins et que dès cette année « de nouveaux indicateurs seront accessibles au grand public », lors de son audition mardi 30 juin 2009 par des députés de la mission d'infirmation sur l'indemnisation des victimes d'IN (infections nosocomiales) et l'accès au dossier médical, qui rendra son rapport définitif le 8 juillet. La ministre de la Santé a par ailleurs promis que les « indicateurs de résultats seront peu à peu mis en regard des indicateurs de moyens » qui eux sont toujours en hausse, a-t-elle reconnu (taux de consommation des produits hydro-alcooliques pour le nettoyage des mains, par exemple). La ministre a répondu aux questions de Guénhaël Huet (UMP, Manche), rapporteur de la mission et membre de la commission des Lois, de Marietta Karamanli (SRC, Sarthe) et de Jean-Pierre Door (UMP, Loiret) pour la commission des Affaires sociales sur l'intérêt d'une définition législative des IN ainsi que sur l'éventualité d'un allongement du délai pour le patient d'accès à son dossier médical à l'hôpital.
"Le risque infectieux en HAD (hospitalisation à domicile) de l'AP-HP (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris) semble (...) plus faible qu'en établissement de santé conventionnel et paraît avoir diminué depuis 2000", le taux de prévalence des infections acquises en établissement baissant de deux points (de 4,5% à 2,6%) entre 2000 et 2004. C'est ce que constate l'InVS (Institut de veille sanitaire) dans le BEH (Bulletin épidémiologique hebdomadaire), publié mardi 3 février 2009, sur la base d'une enquête de prévalence des infections associées aux soins réalisée en mai 2007. L'InVS note toutefois qu'il est "difficile de tirer des conclusions de la comparaison des résultats avec l'enquête nationale de prévalence 2006 des infections nosocomiales et avec la première enquête de l'HAD de l'APHP menée en 2000".
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :