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Le conseil scientifique de l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) est renouvelé et sa présidence est confiée à Pierre Toulhoat, directeur scientifique de l’Ineris (Institut national de l’environnement et des risques industriels), annonce l’institut mercredi 7 janvier 2015, après la parution de l’arrêté de nomination au Journal officiel daté du 3 janvier (lire sur AEF). Le conseil scientifique veille à "promouvoir l’excellence scientifique de l’institut en donnant un avis sur ses programmes et en évaluant ses résultats", précise l’IRSN. Il peut par ailleurs formuler des "recommandations sur l’orientation des activités".
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« Je ne vais pas dire que nous sommes heureux de perdre 20 M€, mais il apparaît qu'en 2014 cette baisse est conjoncturellement réalisable pour l'IRSN », déclare Dominique Le Guludec, candidate à la présidence de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, lors de son audition par la commission du développement durable, des infrastructures, de l'équipement et de l'aménagement du territoire de l'Assemblée nationale, mercredi 16 octobre 2013. « Mais si cette baisse peut se faire sans risque en 2014, il ne faudrait pas qu'elle s'éternise », ajoute-t-elle. Elle juge en effet « important de conserver le potentiel de recherche [de l'institut], quel que soit le contexte budgétaire » : « Si l'IRSN n'avait pas ses propres programmes de recherche, il serait dans l'incapacité d'avoir un regard critique » au regard des expertises qu'il effectue sur la sûreté des installations nucléaires.
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L'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) annonce une « nouvelle organisation, élaborée en concertation avec les personnels », mercredi 18 janvier 2012. « Cette organisation, resserrée, s'articule autour d'une direction générale renforcée, de trois pôles opérationnels chargés des missions scientifiques et techniques de l'IRSN dans ses différents champs de compétences, et de six directions fonctionnelles et de support », précise l'institut. Son directeur général, Jacques Repussard, attend de cette nouvelle organisation qu'elle permette de « renforcer la cohésion interne, améliorer encore la synergie entre expertise et recherche, manager efficacement un vaste capital de connaissances scientifiques et techniques et assurer la formation des futurs experts ». La réorganisation vise aussi à « consolider la capacité de l'institut à faire face à une éventuelle situation de crise nucléaire ».
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