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La Direccte de Franche-Comté réorganise son intervention, dans le Haut-Jura, autour d’un projet territorial défini avec les acteurs de la formation et de l’emploi (y compris les entreprises). La démarche, expérimentale, est prévue par une charte signée le 2 décembre 2014. Elle vise à décloisonner les interventions des signataires qui s’engagent à "ouvrir leurs actions à des publics plus divers que ceux pour lesquels elles ont été montées", détaille Cynthia Estavoyer, chargée de mission à la Direccte. "Mon objectif est de décliner, en Franche-Comté, cette approche pour avoir des projets territoriaux explicités", déclare Jean Ribeil, le Direccte. Dans le Haut-Jura, les actions répondent à 10 enjeux prioritaires, définis dans le cadre d’une concertation locale. Le Direccte s’est engagé dans une démarche similaire, en cours de déploiement sur le territoire de Belfort-Montbéliard-Héricourt.
"Nous sommes décidés à tenter de faire la démonstration qu'il y a une méthode de croissance à mettre en place", déclare François Patriat, président du conseil régional de Bourgogne, à l'issue d'une première réunion de travail, le 14 avril 2014, en vue de la fusion avec la Franche-Comté. L'élu estime que les deux régions ont intérêt à renforcer leurs pôles de compétitivité ou leurs agences de développement par un changement d'échelle. "Nous avons besoin d'outils complexes en termes d'ingénierie", illustre Marie-Guite Dufay, présidente de la région Franche-Comté. Ces outils sont d'autant mieux rentabilisés qu'ils sont développés pour répondre à des besoins massifs. Les économies générées seront investies sur le territoire. "Si nous faisons des économies de structure, il faut que l'État en tienne compte" en maintenant la DGF, estime en effet François Patriat.
Sécuriser le parcours professionnel des salariés intérimaires : c'est l'objectif du dispositif « 1 000 parcours en Franche-Comté » qui, le 13 novembre 2013, s'est vu décerner le prix spécial du jury Territoria 2013 organisé par l'Observatoire national de l'innovation publique. Mis en œuvre par le FAF.TT, « 1 000 parcours pour l'emploi » vise à compléter les expériences acquises par les salariés intérimaires lors de missions de travail temporaire par une formation qualifiante. Pour sécuriser le projet personnel des bénéficiaires, le dispositif prévoit un diagnostic individuel permettant d'identifier et de traiter les freins périphériques à l'emploi, avec le concours du Fastt (Fonds d'action sociale du travail temporaire). À fin 2013, 220 personnes sont entrées dans le dispositif.
La conseil régional de Franche-Comté vient d'adopter une série de mesures venant en appui au contrat de génération. Parmi ces mesures, elle mobilise 2 000 euros par entreprise « pour financer une aide à l'ingénierie préalable à la construction du binôme », indique le rapport adopté. « Si nous ne prévoyions aucune aide au conseil pour entrer dans ce dispositif complexe, je ne suis pas sûre que le contrat de génération serait probant », déclare Marie-Guite Dufay, présidente (PS) du conseil régional de Franche-Comté lors de la session plénière.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :