Continuer sans accepter

Bonjour et bienvenue sur le site d’AEF info
Vos préférences en matière de cookies

En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.

Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :

  • Mesurer et améliorer la performance du site
  • Adapter la publicité du site à vos centres d'intérêt
  • Partager sur les réseaux sociaux
En savoir plus sur notre politique de protection des données personnelles

Vous pourrez retirer votre consentement à tout moment dans votre espace « Gérer mes cookies ».
Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°492982

Un formateur qui demande à une stagiaire "bon, c’est quand qu’on couche ensemble ?" commet un harcèlement sexuel

Le fait pour un salarié, animateur formateur à l’école des ventes du groupe, d’avoir tenu à l’égard de jeunes stagiaires les propos suivants : "Bon, c’est quand qu’on couche ensemble ?" et de leur avoir posé des questions intimes sur leur vie privée, caractérise un harcèlement sexuel. La Cour de cassation reproche le 3 décembre 2014 à la cour d’appel de Versailles d’avoir jugé que le licenciement pour faute grave de l’intéressé était sans cause réelle et sérieuse.

Cette dépêche est réservée aux abonnés
Il vous reste 90 % de cette dépêche à découvrir.

  • Retrouver l’intégralité de cette dépêche et tous les contenus de la même thématique
  • Toute l’actualité stratégique décryptée par nos journalistes experts
  • Information fiable, neutre et réactive
  • Réception par email personnalisable
TESTER GRATUITEMENT PENDANT 1 MOIS
Test gratuit et sans engagement
Déjà abonné(e) ? Je me connecte
  • Thématiques
  • Coordonnées
  • Création du compte

Thématiques

Vous demandez à tester la ou les thématiques suivantes*

sur5 thématiques maximum

1 choix minimum obligatoire
  • Social / RH
  • 👁 voir plus
    ✖ voir moins

Fréquence de réception des emails*

Un choix minimum et plusieurs sélections possibles. Vous pourrez modifier ce paramétrage une fois votre compte créé

Un choix minimum obligatoire

* Champs obligatoires

Coordonnées

Renseignez vos coordonnées*

Veuillez remplir tous les champs
Votre numéro de téléphone n'est pas valide

* Champs obligatoires

Création de compte

Tous les champs sont obligatoires
Votre adresse e-mail n'est pas valide
Seulement les adresses e-mails professionnelles sont acceptées

Cette adresse vous servira de login pour vous connecter à votre compte AEF info

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont au moins 1 chiffre
Ces mots de passe ne correspondent pas. Veuillez réessayer

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont 1 chiffre

En validant votre inscription, vous confirmez avoir lu et vous acceptez nos Conditions d’utilisation, la Licence utilisateur et notre Politique de confidentialité

* Champs obligatoires

Valider

Merci !

Nous vous remercions pour cette demande de test.

Votre demande a été enregistrée avec l’adresse mail :

Nous allons rapidement revenir vers vous pour vous prévenir de l’activation de votre nouvel accès.

L’équipe AEF info


Une erreur est survenue !

Une erreur est survenue lors de l'envoi du formulaire. Toutes nos excuses. Si le problème persiste, vous pouvez nous contacter par téléphone ou par email :
 service.clients@aefinfo.fr  01 83 97 46 50 Se connecter

à lire aussi
Des faits de harcèlement sexuel peuvent justifier un licenciement même si la plainte de la victime a été classée

La Cour de cassation approuve, dans un arrêt du 21 mai 2014, le licenciement pour faute grave d’un manager dans une chaîne de restauration rapide pour des faits de harcèlement commis sur une de ses équipières, alors même que la plainte pénale de la salariée a été classée sans suite par le procureur de la République. La haute juridiction considère que "les faits dénoncés par la victime étaient particulièrement circonstanciés, qu’il s’agissait de faits répétés de harcèlement sexuel dont la victime s’était plainte de façon concordante tant auprès de son employeur qu’auprès des services de police". Ces faits, qui "s’inscrivaient dans le contexte d’une relation de travail déjà marquée par des antécédents disciplinaires pour des faits de même nature", "constituaient une faute grave rendant impossible le maintien du salarié dans l’entreprise".

Lire la suiteLire la suite
Les pièces justifiant une sanction pour harcèlement sexuel n'ont pas à être communiquées lors de l'entretien préalable

Si l'article L. 1232-3 du code du travail fait obligation à l'employeur d'indiquer au cours de l'entretien préalable au salarié dont il doit recueillir les explications le motif de la sanction envisagée, il ne lui impose pas de lui communiquer les pièces susceptibles de justifier la sanction. Ainsi, l'employeur qui envisage de sanctionner un salarié pour des faits de harcèlement sexuel peut s'appuyer sur un rapport d'enquête interne rapportant des témoignages nominatifs et précis, sans être tenu de confronter le salarié à ses accusateurs, de lui communiquer l'identité de témoins ou de l'informer des avancées de l'enquête. C'est le sens d'un arrêt de la chambre sociale de la Cour de cassation du 18 février 2014.

Lire la suiteLire la suite
Un directeur de recherche de l'Inra condamné à 9 mois de prison ferme pour harcèlement sexuel (avocat)

Le tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines) condamne le 27 janvier 2014 un directeur de recherche de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique) à 18 mois de prison dont neuf mois ferme pour harcèlement sexuel, conformément aux réquisitions du ministère public. C'est ce qu'annonce à l'AEF Maître Michel Ledoux, qui défendait l'Inra en tant que partie civile. L'avocat précise que le fonctionnaire, qui exerçait ses fonctions au centre Inra de Jouy-en-Josas (Yvelines), a également été condamné à 10 000 euros d'amende, et à verser 6 000 euros aux deux victimes qui rapportaient des faits non couverts pas la prescription. L'Inra, qui avait « révoqué le directeur de recherche » à compter du 1er octobre 2013 à l'issue d'une enquête interne, est « satisfaite » et constate que « le tribunal s'est aligné » sur sa décision de révocation « en termes de sévérité », indique l'avocat.

Lire la suiteLire la suite